NOS ENQUETES AU MAROC - OVNI MAROC

A L'OUKAIMEDEN AU MAROC 

AOUT 2009

UN INVITE NOUS FAIT PART DE SON OBSERVATION
Photo et montage Gérard Lebat (c)

Ce cas intéressant a été évoqué lors d'une réunion tenue à Marrakech le 15 janvier 2010. Nous vous en donnons ci-dessous, un extrait de ce qui a été évoqué. Une reconstitution photo a été faite en compagnie du témoin.

C’était au mois d’août 2009, alors que je me promenais à la station de ski de l’Oukaimeden au Maroc, près de Marrakech. Mon attention fut soudainement attirée par un grand disque jaune – orangé qui se déplaçait en parallèle de la crête de la montagne. Il était 9 h 00 - 10 h 00 environ, le secteur était pratiquement désert, seulement quelques personnes dans le lointain, (5 ou 6) qui ne semblent pas avoir vu le phénomène, mais vu la distance et le fait que je ne les ai pas contacté, je ne peux pas le confirmer. La grosseur de l'objet était similaire à une petite maison, au moins 10 m de longueur, mais aplatie, comme une soucoupe. J’ai vu à un moment un jet de lumière descendre vers la montage. Cela à duré environ 5 secondes. J’ai eu largement le temps de le voir. L’observation a durée environ 1,5 minutes, l’objet était stable par intermittence. Lorsqu’il a atteint le sommet de la montagne, il à disparu à une vitesse très importante, en une seconde !....
Après cette observation, je suis resté quelques instants sur place à réfléchir, mais je ne trouvais aucune explication. Je me suis donc remis à marcher, tout en y pensant constamment. Ne pouvant rien faire, en tout état de cause, j'ai gardé jusqu'à ce jour cette observation insolite dans un emplacement de ma mémoire, sans en parler, car ici on ne m'écouterait pas, au contraire, cela ferait rigoler !

Mohamed F. – Marrakech. (extrait de son témoignage)

Ce repas a été l'occasion de rencontrer deux personnes intéressées par le dossier ovni. La documentation n'est pas disponible au Maroc, on ne peut pas trouver d'ouvrages sur le sujet, même en Français, car les importations de ces ouvrages sont vraiment rares. Internet est donc un palliatif à ce problème, mais faut il encore avoir les moyens de l'avoir à domicile. Souvent, les personnes intéressées vont dans les CyberCafés pour se connecter sur des sites Français.

Mais évidemment ce n'est pas très pratique et cela explique le peu de personnes passionnées par le sujet. L'histoire des OVNI au Maroc a été évoquée et ce projet ne manque pas d'intéresser les participants. De temps à autre, les invités reconnaissent que parmi la famille, les amis, si on aborde les observations d'objets insolites dans le ciel, certains ont des faits de ce type à évoquer. Le phénomène est donc bien présent, mais ici aucun organisme se s'occupe de regrouper les cas. Sur le territoire, les brigades de gendarmerie ne s'en occupent pas. Enfin, les médias n'en parlent pas et ne relayent aucune information sur ce sujet. Le public n'est donc pas véritablement informé sur ce phénomène.

On a évoqué les conditions difficiles pour se réunir, les frais inhérents aux déplacements, ce sera donc après un contact individuel par mail, que la prochaine réunion aura lieu. Contactez nous dès maintenant si ces réunions vous intéressent.
Gérard Lebat (c)
 
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ENQUÊTE MARS 2010
UNE ÉTRANGE RENCONTRE AVEC DES ENFANTS AUX POUVOIRS SURNATURELS.
IMOUZZER KANDAR - MAROC -
J’ai aujourd’hui 31 ans, je vis au Maroc, à Mohammedia, actuellement j’occupe un poste de cadre supérieur dans un groupe agroalimentaire à Casablanca. Lorsque j’avais 17 ans, j’ai fait une étrange rencontre qui n’a pas été sans conséquences sur ma vie et sur ma santé. Aujourd’hui encore, je ne cesse de me poser des questions sur ce que j’ai vu. J’ai fait des études en France, après cette rencontre, j’ai donc acquis une certaine culture scientifique et j’ai aussi une vision de la culture occidentale. Aujourd’hui, j’ai conscience que des faits aussi étranges doivent être portés à la connaissance du public, sous un autre regard que l’explication toute faite de l’intervention de Djin’s ou autres créatures enseignées dans notre religion. Je me suis intéressé à l’astronomie, aux phénomènes qui dans l’espace restent non identifiés (OVNI) et j’ai aussi lu des ouvrages sur les légendes en France. Ici, au Maroc, de tradition, on ne parle pas de tout cela, sinon dans le cercle restreint de la famille, des amis proches. Il n’y a donc que très peu de faits similaires à ce qui m’est arrivé, publiés dans la presse ou dans des ouvrages.
Je vous raconte ce que j’ai vécu.

J’avais 17 ans et nous sommes partis en vacances dans la région d’Immouzer Kandar (ville située dans le moyen Atlas, à 1400 m d’altitude et à une quarantaine de kilomètres de la ville impériale de Fès) en famille, moi, mon frère ainsi que ma petite sœur et mes parents.
Ces vacances ont duré 10 jours, nous logions dans une petite maison dans un centre estival avec piscine. J’étais passionné par la nature, j’avais des jumelles, et chaque jour je faisais des sorties sans la permission de mes parents pour aller découvrir les montagnes environnantes.
Il y avait une montagne non loin du Centre, qui me fascinait beaucoup, il y avait comme une petite forêt à la base de la montagne. J’y suis allé plusieurs fois mais sans jamais monter très haut.
Un jour j’ai décidé d’aller plus loin et de monter jusqu’au sommet afin de contempler le paysage. Mais, arrivé à mi-chemin sur un plateau, je découvre une crevasse, comme une grotte enfouie dont l’entrée était impraticable, vu qu’il y avait un vide et que des cordes et du matériel étaient indispensables pour y descendre.

J’étais impressionné par ma découverte et aussi très ému. Il se faisait tard, j’ai décidé de rebrousser chemin.
Le lendemain je suis remonté une nouvelle fois, mais cette fois-ci, avec la volonté de me rendre jusqu’au sommet. J’ai suivi le même chemin que la veille, passant sur le plateau ou se trouvait la grotte. Alors que je m’en approchais, j’aperçois ce que j’ai identifié comme un groupe d’enfants venus de nulle part. Ils étaient sur le plateau, regroupés en un cercle et semblant occupés à examiner quelque chose au sol. Ils semblaient muets et froids à la fois, ils m’ont vu venir et se sont aussitôt dispersés.
A première vue, ils étaient très bien habillés et même trop bien habillés. Aucun rapport avec les personnes habitant la région, des bédouins et des paysans pour la plupart et même leur apparence était bien soignée. Ils m’ont donné l’impression qu’ils avaient entre 8 et 10 ans au maximum, vue leur taille (qui était d’environ 1 m 40), et ils étaient beaux. Ils avaient des vêtements de type occidental, (c’est le rapprochement que j’ai fait, mais, vu l’étrangeté, ils pourraient très bien être d’une autre origine), ce qui n’est pas dans les coutumes locales.
On aurait dit des enfants qui sortaient d’une école Française, car ils portaient le même code vestimentaire (chemises avec petits gilets, demis-pantalons et souliers, tout ça propre et bien soigné), (1) vu leur similitude dans l’habillement, chose impossible ici ! Ils n’avaient aucun sac, ni bouteille d’eau, ce qui n’est pas non plus dans les habitudes ici, vu le climat très chaud et les risques liés à la montagne. Ces « enfants » m’ont semblé très mystérieux, comme s’ils étaient d’un autre monde ! Ils étaient beaux, calmes, même trop calmes pour leur âge. Cela donnait une impression de surnaturel ! Je dirais même comme si ces enfants venaient d’une autre planète. Pourtant pas d’engins pour les transporter aux environs, comment sont-ils venus ici, sans adulte, sans accompagnateur ? Leur présence, leur apparence, leur façon d’agir, de se comporter, que l’on peut comparer à des adultes, ne cadre pas avec l’environnement, les habitudes locales ou de la campagne Marocaine. Cette scène me donnait vraiment l’impression d’avoir à faire à des « extraterrestres » venus sur notre terre ! Comment cela est-il possible ?
En observant ce groupe, tout d’abord, j’ai eu peur pour eux, peur qu’il leur arrive quelque chose ici, au milieu de nulle part, et tout près d’une grotte d’au moins 15 mètres de profondeur, voir plus. J’étais encore loin d’eux, mais je les interpellai tout de même en leur posant la question toute bête :
« Qu’est-ce que vous faites là et d’où venez vous ? ».
L’un des êtres, l’un de ces gamins et un seul m’a répondu, en langue française, comme s’il lisait dans mon inconscient et d’une voix normale qui ne m’a pas choqué :
 
« On vient de pas loin ».
Rien de plus, pas d’autres détails. Aussitôt qu’il a prononcé ces mots, les autres « enfants » vont se disperser aux abords du gouffre. J’aperçois alors une petite fille avec eux (ce qui, à nouveau, n’est pas dans les habitudes dans notre pays, et qui plus est à la campagne où les filles restent à la maison !) qui semblait vouloir descendre dans le gouffre. Instinctivement, j’ai alors lancé :
« Mais où voulez-vous aller, c’est dangereux ici, vous voulez vous jeter dans le gouffre ? ».
L’être qui m’a répondu au début me dira alors :
 
« Nous sommes venus ici pour enlever ces choses ».
Il me montrait ce qui était comme des fils fixés sur la paroi opposée du gouffre. Mais pour moi, il leur était impossible de décrocher ces fils, il faudrait voler ou être en lévitation pour le faire. Il y avait le vide, le gouffre, comment des enfants auraient-ils été en mesure de faire cela sans aide, sans matériel... Il s’agissait d’un acte qui n’était pas à la portée d’enfants normaux, surtout de ceux qu’on rencontre ici, et qui n’ont pas une grande culture.
C’est alors qu’il me dit :
« Ne t’inquiète pas et viens, on va jouer à un jeu, je vais te défier et je suis sûr que je vais gagner »
J’ai souri et je lui ai dit :
 
« Vas-y, montre-moi ».
C’est alors que l’enfant se déplace assez loin du gouffre, je le suis, tout en me situant à une bonne distance de lui. Il prend un caillou et le lance en l’air. C’était tout à fait stupéfiant : le caillou volait comme un éclair, sans pratiquement que je sois en mesure de le suivre des yeux. Une vitesse folle, vertigineuse ! On aurait dit que le caillou brûlait dans l’air, tout en émettant un son très sourd.
Bien que je ne pensais pas faire mieux, je suis plus âgé que lui, je dois essayer, je ne peux donc que relever le défi. J’ai pris un caillou sur le sol, je l’ai lancé à mon tour et, évidemment, je ne suis pas arrivé au même résultat ! J’en ai repris d’autres et à deux ou trois reprises, j’ai lancé ces cailloux, sans obtenir le résultat que cet « enfant » m’a démontré. J’ai bien cherché des explications, mais je ne trouvais aucune solution. Comment cela était-ce possible ? Un pouvoir « surnaturel », une force ou une technologie que je ne connaissais pas. Je me pose toujours cette question, je n’ai pas trouvé à ce jour de réponse.
Devant mon incapacité à faire mieux que lui, l’être qui se trouvait devant moi me sourit ! Il ajoute :
« Tu n’arriveras jamais à faire ce que je peux faire …. »
Je ne réponds pas, en moi-même je me dis « bravo », tu as un pouvoir mystérieux, moi, je ne le connais pas. Je me retourne et je regarde vers les autres « enfants » qui attendaient, les yeux dirigés dans ma direction et qui ne parlaient pas. Je remarque qu’ils ont tous quelque chose de commun : les mêmes traits !
Le « gamin » m’a alors demandé d’une façon qui ne m’a pas parue étrange où je comptais aller et pourquoi je suis monté jusqu’ici. Je lui ai répondu que je voulais seulement monter jusqu’au sommet de la montagne pour voir le paysage, y rester un moment, puis redescendre au village. Il a poursuivi en me disant :
« Si tu veux, tu peux venir avec nous ».
Sur le coup je n’ai pas saisi le sens de cette demande, car dans ma tête, il n’y avait pas où aller en bas, ni même ailleurs.
J’ai dit tout simplement :
 
« Je dois poursuivre mon chemin pour ne pas rentrer tard ».
Surpris, ébahi par la scène, je ne comprenais toujours pas, mais je devais continuer ma route. Je leur ai alors dit à nouveau de faire attention. Pour poursuivre mon chemin, étant en contrebas de ce groupe « étrange », je monte, je les contourne en passant à côté de l’endroit ou ils étaient en cercle, lorsque je les ai vus pour la première fois. J’ai remarqué à cet endroit comme des cendres et des plumes d’un oiseau qui me semblaient être celles d’un pigeon. Rien de plus, pas d’os, pas de déchets. Je ne peux en dire plus, en tout état de cause, ce qui restait là au sol, ne pouvait pas expliquer que ces êtres partageaient un repas !
Je poursuis néanmoins l’escalade, puis, quelques minutes plus tard, je me retourne pour voir où était ce groupe bien mystérieux. Je regarde intensément, je cherche en direction de l’endroit où je les avais laissés, puis je vérifie en me déplaçant, en direction de la base de la montagne, si je les apercevais, mais plus personne… Plus rien : ce groupe a disparu comme s’il s’était volatilisé. L’horizon est relativement bien dégagé sur cette partie de la montagne, j’aurais dû les voir. Il semble impossible, vu les moyens dont ils disposaient, de descendre dans la grotte, et encore moins, en si peu de temps, de disparaître de mon champ de vision. Je ne m’explique pas.
Je continue toutefois mon chemin mais j’ai comme l’impression que quelque chose me suit, une présence qui m’accompagne, je ressens seulement cet effet car je ne vois personne autour de moi.
 
Arrivé au sommet, cette perception de n’être pas seul s’est transformée en une envie de redescendre le plus vite possible ! Je ne dois pas rester là longtemps, mais je cueille toutefois quelques plantes qu’on ne trouve qu’à cet endroit, pour prouver, s’il était utile, mon exploit. A l’origine pourtant, j’avais programmé de rester un petit moment pour contempler le paysage situé derrière la montagne, mais, à ce jour, je ne comprends toujours pas pourquoi je ne suis pas resté, pourquoi aussitôt arrivé et cueilli les plantes, je me suis précipité pour redescendre. Je n’ai même pas pris la peine de respirer, ni même de voir le paysage, c’est comme si quelque chose me murmurait à l’oreille de partir aussi vite que possible.
Ces êtres qui ressemblaient à des enfants, m’ont totalement perturbé. Ils m’ont montré une chose incroyable, que je ne pouvais pas reproduire, que j’étais incapable de faire. Eux- mêmes étaient étranges, comme s’ils n’étaient pas de notre monde.
En descendant la montagne, je suis repassé devant la grotte, le gouffre, mais il n’y avait rien, aucune présence de ces enfants. Une fois arrivé au Centre, je ne parle pas de cette rencontre, je me contente de montrer à ma famille les plantes que j’ai arrachées au sommet de la montagne. Je demande à mon père de tenter de les voir en haut de cette montagne, à l’aide d’une paire de jumelles qu’il possède. Mais il est fou de rage, il ne savait pas que je faisais ce genre de sortie, pensant que je restais dans le Centre de vacances et il me défend de sortir dorénavant du village où nous sommes.
Mais l’envie de retourner là-bas avec mon frère de 14 ans, avec qui j’avais partagé ma rencontre, était plus forte. Nous avons donc désobéi à notre père et nous sommes partis un après-midi en direction du sommet de la montagne. Toutefois, arrivé près du gouffre, de la grotte, mon frère a été envahi par la peur et il m’a demandé de redescendre immédiatement. Il n’y avait pourtant personne, cette fois-ci, dans cet endroit qui forme une sorte de plateau.
A la suite de mon expérience, n’en parlant vraiment qu’à peu de personnes, j’étais toutefois à l’écoute de tout ce qu’on pouvait dire sur cette montagne. J’ai ainsi entendu des jeunes parler à son sujet. Ils voulaient y aller, mais l’un d’entre eux les avait dissuadés. Cette montagne est hantée, disait-il, il ne faut pas y aller ! Une fois, poursuit-il, un groupe de personnes qui s’étaient engagées dans cette direction ont été attaquées par une pierre géante qui est descendue de nulle part. Les personnes ont failli être écrasées par cette pierre, par chance elles l’ont évité, mais, de peur, elles sont redescendues immédiatement !
Ce qui va suivre est encore plus que surprenant, plus grave et je fais le rapprochement de ces faits avec ma rencontre car on n’a pas trouvé d’explication. De retour à Mohammedia, lieu ou j’habite normalement, j’ai commencé à avoir des fièvres ininterrompues, chaque semaine. Dès que je commençais à aller mieux, ces fièvres revenaient. Le médecin ne comprenait pas. J’ai eu aussi des difficultés à uriner. Puis les fièvres se sont arrêtées.
Deux semaines après, j’ai eu un malaise au lycée, comme un début de fièvre, je rentre chez moi, je me couche. Lorsque je suis allé aux toilettes, j’ai uriné du sang ! Une infection, mais pourquoi, comment ? Puis cela a empiré, allant jusqu’à provoquer au niveau des testicules, des douleurs importantes et insupportables. Je suis resté ainsi durant une semaine, au lit, sans pouvoir me lever ou même changer de position. J’étais presque paralysé ! Les médecins m’ont fait des piqûres, mais rien n’a changé, je ne pouvais plus marcher ni bouger, je devais rester allongé sur mon dos et les jambes écartées. J’ai consulté un spécialiste, un urologue, qui m’a fait hospitaliser et il a découvert une inflammation de l’hypophyse dont l’origine était inexpliquée. Au début, je suis resté au lit et à la maison pendant plus d’une semaine, en prenant les médicaments prescrits par le médecin urologue mais un soir, les douleurs se sont accrues et intensifiées. Mes parents m’ont immédiatement emmené à une clinique privée, où je suis resté une dizaine de jours, sous soins intensifs. Grâce aux multiples traitements que j’ai suivis, je me suis rétabli tout en évitant une opération chirurgicale. J’ai poursuivi le traitement une fois rentré à la maison, mais cette maladie m’a beaucoup coûté car j’ai perdu une année de bac.
 
Pas d’explication à tous ces malaises, mais, je reste persuadé que le fait d’avoir été en contact avec ce groupe étrange aux pouvoirs inconnus, que j’ai pris pour des enfants, d’avoir aussi été dans leur environnement est pour quelque chose dans ces fièvres et cette infection aux origines inexpliquées, selon les médecins.
Je n’ai parlé de cette rencontre qu’à quelques personnes, sans approfondir, mais jamais elle n’a été l’objet d’une publication. C’est une rencontre encore totalement inconnue. Je suis allé dans les années qui ont suivi, poursuivre mes études en France. J’ai alors rencontré une personne originaire de cette région qui m’a confirmé que cette montagne était bien mystérieuse, qu’elle était maudite, hantée, et que les habitants, localement, racontaient de nombreuses légendes sur des histoires étranges qui s’y étaient passées. Je me pose toujours des questions quant à cette grotte, ce gouffre et la présence inexpliquée d’un groupe d’enfants qui semblaient venir d’ailleurs.
Au Maroc, ce type d’histoire ne franchit pas la porte de la famille, la religion admet la présence de Djin’s, ces êtres de feu qui sont là pour expliquer bien des visions ou des rencontres insolites et hors du commun. En conséquence, compte tenu de cette explication, de ce que prévoit le coran, il n’y a donc pas à s’inquiéter, et tous ces faits restent inconnus du grand public.
Youssef M - Remise en forme et enquête Gérard Lebat (c)
Reproduction interdite sans accord des auteurs.
(1) Je fais cette comparaison à partir d’images, où dans certaines écoles, les enfants sont habillés tous d’une même façon, une sorte d’uniforme, pourrait-on dire. Évidemment, l’origine, compte tenu de l’étrangeté de la scène, peut être différente, et on pourrait imaginer un groupe d’êtres venus d’un autre monde, impression que j’ai eue également.
LES LÉGENDES AU MAROC
Cette histoire a été retranscrite telle que vécue et ressentie par le témoin. Si vous connaissez des légendes, des faits incroyables, des informations en rapport avec les ovni, l'insolite, des légendes, n’hésitez pas à les évoquer et nous les faire partager. 
OVNI - INSOLITE - IMOUZZER KANDAR - MAROC -
IMMOUZZER KANDAR :Un mouzari raconte que dans les années 70 ou 80, une groupe de personne dans le Moyen-Atlas, près de Dayet Aoua a vu une personne disparaitre, aspirée par le ciel par un engin extra-terrestre.
 
Probablement un Ovni ? Plus jamais personne ne l' a plus jamais revu et cela reste sous silence encore de nos jours.
 
( source : http://www.natureculture.org/wiki/index.php?title=Mythes_et_l%C3%A9gendes_%C3%A0_Imouzzer_Kandar )
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UN OVNI EN 1944 PRES DE CASABLANCA !
CASABLANCA PRINTEMPS 1944
Une enquête de Gérard LEBAT (c

Nous avons été récemment contactés (mai 2011) par un lecteur du site des Repas Ufologiques Marrakchis qui nous fait part d’une observation qu’il tient de son père et qui se déroulait sur la région de Casablanca.


Mr Jean M. qui habite actuellement l’ouest de la France, nous relate un cas dont son père lui a souvent parlé et qui l’avait beaucoup marqué. Comme un certain nombre de Français, il se trouvait à cette époque au Maroc ou il avait diverses missions en rapport avec la guerre qui battait son plein eu Europe. Préparation des étapes à venir, enfin est-il qu’un jour, qu’il situe au printemps 1944, avec un ami, ils avaient quitté la ville, très petite à l’époque de Casablanca, pour se balader et découvrir le pays, la campagne, non loin de Casablanca, en direction du petit village de Settat. Aujourd’hui c’est une grande bourgade, qui s’est largement développée. Mais il se trouvait en fait pas très loin de Casablanca, une vingtaine de kilomètres peut être. Les moyens de communication étaient a cette époque très limités, les routes en faible nombre. Le lieu précis, il ne nous l’a jamais dit, d’ailleurs, il ne le connaissait certainement pas. C’était à l’occasion d’un rare moment de liberté, qu’il avait entrepris avec un ami, collègue embarqué dans la même galère, ce déplacement.

La campagne était vide à cette époque, par ci par là des fellahs occupés dans les champs à des tâches pénibles, sans moyen, pour retourner quelques centaines de mètres carrés de terre ou ils cultivaient un blé rudimentaire qui ne donnait en fin de compte, pour un travail énorme, que quelques centaines de kilos à l’hectare. Un travail très dur, sous le soleil, pour seulement survivre. Mais c’était ainsi à cette époque, l’espérance de vie était pour ces gens très limitée, au mieux une trentaine d’année, avec la maladie, le manque de nourriture et de soin, qui emportaient vers l’au delà bien des gens au moment de leur vie qui aurait du être le meilleur.
 
La campagne était verte, pas comme en France bien évidemment, rapportons cela à ce pays ou la sécheresse est de rigueure dés le mois de juin. Mais c’était le printemps, après les pluies de l’hiver, le peu de végétation présente était au mieux de leur forme.

Tout cela, mon père nous l’évoquait. Ce jour précisément, sur un chemin à la rigueur carrossable, il observa avec son ami, à 15° d’azimut au maximum, donc relativement bas, un objet de forme ovale et qui se trouvait, selon lui, à moins d’un kilomètre. Cet objet, une masse grise, qui semblait métallique, avançait lentement dans l’espace, venant de l’Est (la province) et allant vers la Mer (vers Casablanca). Il estimait sa grosseur à 5 à 6 m de long pour 3 mètres de large ou plus précisément de haut. Il faut prendre ces dimensions avec une certaine incertitude, l’éloignement peut tromper et notre œil n’est pas apte à donner avec précision des dimensions à cette distance. Cette distance, il l’estime à partir de bosquets, de plantes grasses qui poussent dans la campagne et au dessus desquelles l’objet semblait se situer. Cet objet tout d’un coup est descendu en direction du sol, il a semblé se poser. La végétation, même à cette distance, empêchait mon père de discerner véritablement si l’objet était vraiment posé au sol. L’objet, dés qu’il a été observé par mon père et son ami, a évolué en ligne droite, lentement, durant au moins une minute, avant de faire cette manœuvre en direction du sol. Mon père et son ami n’ont pas quitté le lieu à partir duquel il observait cet étrange engin, totalement inhabituel et dont ils ne pouvaient absolument pas donner une identification quelconque. Ce n’était pas un avion (très rare à l’époque en ce lieu) encore moins un dirigeable, en aucun cas une météorite ou un quelconque bolide venant de l’espace. L’objet était d’ailleurs très bas et l’atterrissage s’est fait tout d’un coup, l’objet descendant à angle droit vers le sol, aussi lentement que lorsqu’il se déplaçait.

Mon père me racontait, qu’au bout de quelques minutes, il avait avec son ami, commencé à se rendre en direction de l’objet, a pied. Ils avaient parcouru 50 à 70 mètres, en marchant normalement, donc environ une minute et ils ont vu l’objet remonter vers l’espace, a faible vitesse, approximativement la même que lorsqu’ils l’avaient observé lors de son déplacement horizontal. Cela a duré une dizaine de secondes, puis l’objet, qui avait toujours la même apparence, est parti à une vitesse vertigineuse vers la campagne, direction Est. En une seconde, il avait disparu à l’horizon, prenant progressivement de l’altitude. L’objet a pris instantanément une vitesse incroyable, impossible à l’époque selon notre technique et les engins fabriqués par l’homme. Vu la distance, l’identification aurait été relativement facile a faire. Même aujourd’hui, avec cette description et les caractéristiques du déplacement de l’objet, on ne peut toujours pas donner une solution.

Cette observation a beaucoup marqué mon père qui la racontait souvent en famille. Il était vraiment déçu de ne pouvoir donner une explication à ce qu’il a vu. Pour lui, cet objet, bien matériel, bien qu’il ne pouvait en discerner les détails (apparence lisse de loin, pas de fenêtre ou hublot, pas de dôme, une simple masse qu’il lui semblait métallique). Évidemment pour lui, ayant vécu à l’époque glorieuse des « soucoupes volantes » dans les années 50 - 55, c’était un de ces engins qui pourrait venir d’un autre monde. Mais lui n’a pas pu voir d’êtres aux abords, trop loin, la vision cachée par la végétation. Une simple certitude, l’objet a du atterrir ou alors rester à quelques centimètres du sol.

Les deux témoins sont allés en direction du lieu supposé de l’atterrissage, mais ils n’ont rien observé d’anormal au sol. La terre était dure, donc pas possible d’y trouver d’empreinte. La végétation trop peu dense, donc pas possible d’y trouver de l’herbe qui aurait pu être écrasée. Ils ont cherché, mais rien, pas d’indice, pas de végétation brûlée. Après avoir fait ces recherches, rapide, un coup d’œil vu qu’on ne voyait rien dans l’espace supposé de l’atterrissage, au bout de 10 minutes ils ont regagné le chemin et ils ont poursuivit leur chemin. Ils ont évoqués durant des heures cette observation entre eux, puis en ont parlé à leur retour. Mais toujours pas d’explication, les interlocuteurs ayant d’autre part beaucoup d’autre soucis et un travail constant à assumer. Les heures consacrées aux loisirs étaient rare, le personnel devait toujours être à la disposition de la hiérarchie.

Mon père qui est décédé il y plus de 10 ans, n’a jamais trouvé une explication, il n’hésitait pas à en parler toutefois, ne craignant pas le ridicule, lui étant certain d’avoir eu la chance de pouvoir observer quelque chose d’inconnu et peut être provenant d’une autre civilisation hors de notre univers.
Photo : reconstitution de la scène. (c) Gérard Lebat ( C)
Source : Archive Email avec le fils du témoin conservé dans les archives d'OVNI Maroc international.
 
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DEUX GROS DISQUES SE DEPLACENT A BASSE ALTITUDE AU DESSUS DE

MARRAKECH AU MAROC

MAROC : OVNIS À BASSE ALTITUDE - DEUX DISQUES GÉANTS SE DÉPLACENT

  LENTEMENT AU DESSUS DE MARRAKECH

LE 21 AVRIL 2012 VERS 20 H 40

Deux ovnis en forme de disque ont survolés à basse altitude Marrakech le 21 avril 2012 vers 20 h 40. Quatre témoins observent la scène, puis trois autres témoins se sont fait connaître le lendemain. L’observation est insolite, précise et est à ce jour considérée comme « non identifiée ».

C’est à la suite d’un appel téléphonique le 4 juin 2012 que OVNI Maroc Internationl de Marrakech ont été informés d’une importante observation d’un ovni qui s’est déroulée au-dessus d’un Ryad situé dans le quartier Dar El Bacha, à Marrakech au Maroc. Une enquête a été engagée dès le 5 juin 2012.
Le lendemain de son observation, le 22 avril 2012 le témoin a tenté de nous joindre, mais malheureusement, aucun enquêteur n’était disponible pour raison de déplacement à l’étranger. Toutefois, les informations relatives à cette observation ont été scrupuleusement notées, le soir même et le lendemain. La qualité du récit est donc excellente et en rapport avec la réalité, sans que l’imagination ou la mémoire qui résulterait d’un récit fait un mois et demi plus tard aient altérés les faits.
Au Ryad, 4 personnes qui seront témoins des faits, Jean Claude G, témoin principal, N.G, sa femme, A.G sa fille de 9 ans et occupée aux tâches quotidiennes de la tenue du Ryad, Fatima, employée de maison.

Le 21 avril 2012 à 20 h 40, (heure d’hiver), il ne faisait pas encore tout à fait nuit, Jean Claude G. sort du Salon qui donne sur le patio central de son Ryad, une cours carrée de 7 m 50 sur 7 m 50 environ, occupée en son centre par une petite piscine, quelques orangers, des bananiers et qui donne directement sur le ciel.

Habituellement on peut y voir des étoiles, éventuellement la lune, mais ce soir-là, le temps était couvert, les nuages étaient bas, certainement à moins de 1000 m et on craignait même la pluie. En sortant, levant machinalement les yeux vers le ciel, il a la surprise de voir deux immenses disques, si gros qu’ils couvraient environ les deux tiers du champ aérien que l’on peut voir depuis la base du patio. Ces deux disques étaient en conséquence exactement à l’aplomb du patio, ils se déplaçaient sans bruit et dans un calme complet.
Mais que sont ces deux disques immenses, qui volaient côte à côte, séparé l’un de l’autre par un espace d’environ 2 m, en tenant compte que le diamètre d’un disque pourrait être de 10 à 15 m. Ce diamètre est toutefois fonction de la hauteur de ces engins, élément qui nous est inconnu et incertain dans les estimations données. (Ces mesures sont donc seulement indicatives, mentionnées pour donner une idée plus précise de la grosseur des disques, Jean Claude les comparera également à une parabole de 2m50/3m, ils étaient au moins quatre fois plus gros que ce type de parabole). Par rapport à la Koutoubia distante de 500 m, haute de 80 m, Jean-Claude estime ces objets à environ 100 à 200 m d’altitude, donc très bas et bien en dessous des nuages. Ces disques semblent très gros et Jean Claude les observe environ 10 secondes. Durant ce temps, sa femme, sa fille et l’employé de maison, (donc 4 témoins) sur appel de Jean Claude, le rejoigne et observent les deux disques qui se déplaçaient lentement, à la vitesse d’un cycliste marocain qui n’est pas pressé, dira-t-il ! Ces deux disques se présentaient sous la forme d’une forme ronde, bien délimitée, lumineuse avec une bordure sur le pourtour, circulaire, large d’environ 2 m (pour une estimation de 10/15 m de diamètre) de couleur rouge lumineuse et le centre de couleur orange fluorescent et incandescent (comme la couleur orangée de la flamme d’une gazinière qui est mal réglée). La couronne Rouge lumineuse était fixe, nette et ne bougeait pas. Par contre, la forme centrale était animée, en perpétuel mouvement, par fines particules, comme si c’était gazeux. (L’objet est observé à la vertical, à partir du patio, il provient certainement du Nord-Ouest ou autre hypothèse, descendant de l’espace, pour ensuite s’éloigner en direction du Sud Est.)
Après ces 10 secondes d’observation dans le patio, les quatre témoins décident de monter sur la terrasse, située au deuxième niveau. Tout le monde est affolé, surpris par ces deux disques circulaires (qui sont vu de dessous). La hauteur du Ryad est d’environ 9 m. Deux escaliers à monter. Environ 20 secondes.
Arrivés à ce nouveau point de vue, les quatre témoins poursuivent l’observation de ces deux objets à partir de la terrasse. Les deux « ovnis » en forme de disque, se déplacent toujours très lentement en direction de la Koutoubia. Arrivé à hauteur de la koutoubia, l’objet situé à gauche par rapport à notre poste d’observation se met à se déplacer brutalement, à accélérer rapidement, à monter vers l’espace et s’est dissocié d’environ 25 à 30° sur la gauche, par rapport à sa trajectoire initiale. L’objet de droite fit de même, virant à droite, donc à l’opposé de l’autre objet, mais il ne s’est que très peu écarté quant à lui de sa trajectoire. Plus ils s’éloignaient, plus leur grosseur diminuait et ils ont alors semblé se rapprocher pour ne faire plus qu’un point lumineux qui a disparu, soit dans les nuages, soit dans le lointain en direction de l’Atlas. La durée de l’observation à partir de la terrasse est d’environ une minute et demie, soit une durée totale de la vision de ces deux objets, d’environ deux minutes.
Les témoins ont examiné toutes les possibilités quant à ce que pouvaient être ces objets, mais ils n’ont pas trouvé d’explication. Ils ont regardé sur internet les cas similaires qui sont très rares. Mais aucun indice n’a été trouvé, qui aurait permis de donner une explication à l’observation de ces deux disques, de grande dimension qui ont survolés à faible vitesse et à basse altitude le ryad, puis une partie de la ville de Marrakech avant de disparaître en accélérant soudainement dans le lointain en direction de la montagne.
Les témoins ont cherchés le lendemain matin si d’autres personnes dans les environs avaient observé ces objets. En évoquant l’observation avec une coiffeuse voisine, ils ont appris que cette personne et deux autres témoins, ont eux aussi vu ces objets. En conséquence, il doit y avoir dans la ville de Marrakech, voir dans les environs, de nombreux témoins. Mais au Maroc, ni la gendarmerie, ni la police ne recueillent ces témoignages, le public n’a en conséquence aucune solution pour rapporter à une autorité du royaume, les observations dont il est le témoin. D’autre part, la presse, peu présente sur le terrain, n’évoque que rarement ces phénomènes qui bien souvent ne parviennent pas jusqu’aux rédactions des médias.

Il serait donc intéressant de savoir, si ce 21 avril 2012, vers 20 h 40, d’autres personnes ont observé ces deux OVNIs, se déplaçant dans les cieux de Marrakech. Si tel est votre cas, contacter par émail « OVNI Maroc International » à : lebat1@aol.com 
Gérard Lebat (c) 
Reproduction interdite - propirété littéraire de l'auteur.
 
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SUR MARRAKECH

UN ATTERRISSAGE AVEC LA PRÉSENCE D’UN

HUMANOÏDE AU MAROC PRÈS DE MARRAKECH


ORIGINE DE L’AFFAIRE
Je recherchais une personne pour s’occuper de l’entretien d’une propriété. Je suis donc en contact avec beaucoup de gens, en règle générale des marocains ne parlant pas le Français, parlant même dans certains cas, que le « berbère » local. La tâche n’est donc pas facile et il me faut en générale une personne pour « traduire ». Ici, ces recherches se font essentiellement via le « téléphone arabe » c'est-à-dire les relations qui en parlent autour d’elles, ces derniers répercutant la nouvelle. On est ainsi amené à rencontrer d’innombrables personnes, habitant parfois très loin.
Au mois de Mars 2012, j’ai rencontré une personne, qui parlait le français convenablement, nous avons en conséquence longuement discuté. Nous avons évoqués de nombreux sujets et je lui ai à un moment parlé du fait que je m’intéressais à tout ce qui était mystérieux et qui touchait l’espace, le ciel, les étoiles et naturellement tout ce qu’on pouvait y observer, y compris des objets inconnus. Le mot « ovni » a ainsi été prononcé, ce dernier n’était pas inconnu de mon interlocuteur qui parfois regarde les chaînes de télévision en provenance de la France. J’évoquais sans détailler ce qu’était ce phénomène, les observations de points lumineux, les objets à terre et à très basse altitude. Brahim, un peu plus d’une quarantaine d’années, c’est le prénom de cette personne qui se présentait pour le poste recherché, sans toutefois en avoir les compétences, candidature qui ne pouvait donc pas convenir. Mais, il évoqua toutefois dans la conversation, le fait que son père, âgé aujourd’hui de 70 ans, avait été l’objet, dans les années 60 – 70, d’une bien étrange observation.
Bien, que généralement je n’aborde pas ce sujet ici, les habitants ont autre chose à faire que de s’occuper de ces sujets. Manger, trouver un peu d’argent, étant la principale préoccupation, surtout pour les habitants de la campagne qui ont bien souvent le minimum pour ne pas mourir de faim. Et pour le superflu, s’offrir une télévision par exemple, bien souvent d’occasion, si âgée et en aussi mauvais état apparent qu’on ne la ramasserait même pas en France dans une poubelle, ceci pour quelques dizaines d’euros, il leur faut économiser et faire de bonnes affaires. Mais pas facile à la campagne ou personne n’a d’argent. Il faut souvent monter à la ville, vendre à meilleurs prix ce qu’on a produit. La situation à la campagne est bien différente de la ville, ou ceux qui ont réussi, parviennent à vivre honorablement. Mais ce jour-là, Brahim était relativement bavard, il évoqua donc l’histoire qu’avait vécu son père : une nuit, réveillé par ses chiens, les chiens des voisins, souvent membre de sa famille, il se leva et regarda par la fenêtre. Il observa alors, à 70/100 m de lui environ, un objet qui était à terre et il a pu voir dans la nuit, une silhouette, pas plus grande qu’un enfant, qui se dirigeait vers l’objet, le contourna. Puis au maximum 2 minutes plus tard l’objet s’éleva lentement à la verticale, sans bruit, puis disparu à l’horizontal, tout en s’élevant dans l’espace, à une vitesse relativement élevée. (aussi rapide que les avions à réaction, type F16, à basse altitude, qui étaient présentés par les américains il y a quelques années ici à Marrakech, et dont certains ont survolés la régions.)
 
L’affaire me semblait intéressante, peu d’observation d’objets à terre au Maroc, quelques cas avec des entités aux abords, mais ici comme l’information ne circule pas facilement vers les médias, la situation est normale et elle est connue. D’autre part, pour un villageois de la campagne, il ne serait pas question d’aller raconter une telle histoire à la gendarmerie, qui d’autre part ne saurait pas quoi en faire. La peur du « gendarme » est ici très grande, synonyme de problèmes qui peuvent être très graves….
En conséquence, son père n’a jamais parlé de cela, sinon à sa famille proche, évoquant plutôt une apparition d’un « signe » religieux pouvant apporter le malheur. Jamais le cas ne fut donc évoqué en détails, même dans le proche cercle familial et encore moins chez les voisins ou les personnes que peut rencontrer le témoin. Brahim, ne pouvait donc pas m’en dire plus, un objet vu par la fenêtre, une silhouette et l’objet qui a décollé.
 
Je tentais alors indirectement de lui demander s’il serait possible de rencontrer son père. Ou il habitait. Pour le lieu où se situait le domicile de cette personne, pas de soucis, un petit groupe de maisons, le père, les enfants proches des voisins, non loin de Tahanaout, une distance de cinquante kilomètres au maximum de mon domicile. L’objectif était évidemment de tenter d’en savoir plus sur ce cas. La rencontre n’est pas facile, le père est âgé, il habite la campagne et il n’évoque pas cette affaire, encore moins à un étranger. Arriver à deux ou trois personnes, étrangères à ce village, dans ce « bled » va faire « jaser » et que vont bien dire les habitants. Ici, on prend soin de sa personnalité au sein du village et on craint le « ce que vont penser les autres » ! Ce n’était donc pas gagné d’avance, mais, avec diplomatie, en rassurant Brahim sur le fait que jamais personne ne serait informé des identités, le fait que nous serions le plus discret possible lors de notre venue, sans matériel, ni même appareil photo et le plus rapide possible, j’ai tenté d’obtenir une entrevue avec son père.
Il est parti en me promettant de lui parler de mon intérêt pour cette observation et de demander à son père s’il accepterait de me parler.
Je n’étais absolument pas convaincu qu’un jour j’aurai une réponse, ni même des nouvelles de Brahim.
 
Début Avril 2012, un appel téléphonique, surprise, c’est Brahim qui m’appelle. Il me dit que mes histoires d’ovni l’ont intrigué, qu’il avait parlé à plusieurs amis de ce phénomène et que plusieurs avaient fait des observations de lumières inconnues dans le ciel. Mais tous ces cas sont anciens, sans date précise et nous en avons déjà des dizaines de milliers, ce qui ne nous apporte rien de nouveau. Je n’entreprends donc aucune démarche sur toutes ces histoires imprécises en générale. Mais le plus important, c’est qu’il a eu l’occasion de voir son père et que ce dernier accepte de me rencontrer.
Nous convenons donc de nous rencontrer le Lundi 7 mai 2012 vers 10 h 00 au carrefour du village de Knine. (Environ 40 kms de Marrakech) Il s’agit du carrefour, sur la carte, entre la P2017 et la P2010. Ce village, n’est pas mentionné sur la carte, mais il est aujourd’hui important et le commerce y est actif. Le Lundi, dans ce village, en contrebas, (à environ 1 km 500 du croisement) il y a un souk typique qui a encore conservé aujourd’hui son caractère campagnard.
RENDEZ-VOUS POUR ALLER RENDRE VISITE AU TÉMOIN
Le jour venu je suis sur les lieux du rendez-vous et je retrouve Brahim. C’est lui qui me traduira en Français, nous n’avons pas jugé indispensable pour raison de discrétion, de nous déplacer à plus de personnes. Nous poursuivons notre route, empruntant la P2010 qui rejoint Tahanaout et après quelques kilomètres, il nous faut emprunter une piste sur la gauche de la route, qui nous mène en direction de la montagne. Un kilomètre de piste, pas de soucis, on peu y aller en voiture, me dit Brahim……. Mais, au fil des minutes, la piste relativement bonne, l’hiver n’a pas été très pluvieux, les kilomètres s’additionnent !...... En bref, comme à l’habitude ici, un petit kilomètre qui en fait bien 5 chez nous….. et sur une piste, la route parait longue……. Mais après un bon quart d’heure de piste, j’aperçois un groupe de maisons en pisé (des habitations rudimentaires faites en terre, comme on en trouve partout dans la campagne marocaine) qui forment un petit ensemble. C’est là qu’habite mon père, me confirme Brahim.

Nous nous arrêtons devant un mur déjà bien usé par les années (les murs sont en terre, la pluie l’hiver les abîmes essentiellement sur leur partie supérieure, ce qui demande un entretien constant) dans lequel une porte faite de bric et de broc, des planches de différentes origines et qui ont certainement plusieurs décennies, est percée. Dans le champ avoisinant, deux ânes, un mulet, paisiblement tentent de trouver quelques brins de paille pour se nourrir
 
Après avoir arrêtée la voiture, ici pas de soucis pour les emplacements de stationnement, nous sommes seul, nous nous dirigeons vers la porte. Derrière, déjà les chiens aboient, entraînant dans ce « système d’alarme » efficace, les nombreux autres chiens de ce groupe d’habitation. Brahim pousse la porte, une petite cours, quelques moutons dans un coin, des poules, un coq et devant la maison un homme âgé, (il a 70 ans environ) le père de Brahim qui se prénomme Mohamed.
Raide, malgré les années et un travail difficile dans les champs qui ont usés son corps, sérieux et qui est loin de prendre notre arrivé à la rigolade, Mohammed nous accueil toutefois chaleureusement et est très heureux à la fois de recevoir la visite de son fils et de ma présence. Il nous invite à entrer, la pièce est simple, 3 m de large sur 6 m de long, dans laquelle sont installés au sol et sur le pourtour des tapis et des cousins. Il y a seulement une petite fenêtre, 80 cms par 80 cms pour ouverture ainsi que la porte. C’est suffisant pour éclairer la pièce. Le soleil monte à plus de 60° l’été (52 à l’ombre, il y a deux années), donc pour se protéger, les fenêtres sont rares et souvent petites. Nous prenons place, à terre, comme de coutume. (Pas de table, pas de chaise, pas de fauteuil, ici on n’a pas les moyens de s’offrir tout cela) Et rapidement, arrivant de dehors, (la cuisine est souvent située dans ces maisons en terre, dans une pièce attenante, domaine des femmes) une personne âgée, sa femme et deux jeunes filles, deux de ses enfants encore à la maison. Elles nous apportent le thé à la menthe traditionnel, accompagné de pain, d’huile d’olive, de confiture, de gaufres paysannes, de lait et même des œufs cuits durs…….. un accueil traditionnel au Maroc, que ce soit à la ville ou à la campagne.
Les femmes se retirèrent et Brahim parle avec son père, en Arabe et en Berbère, traduisant de temps à autre certains passages de la conversation. Nous en arrivons à ce qui nous intéresse, la description de ce que Mohamed a observé. Replacer dans le temps ce fait n’est pas évident, c’était avant la naissance de Brahim, 1er point. Se référer à des éléments de l’actualité, c’est impossible, ici le temps s’écoulait à cette époque au fils des saisons, sans que la radio ni la télévision ne viennent perturber la vie paisible de cette famille. On peut au mieux replacer l’évènement vers 1967 – 1969 et au printemps, Mohamed se rappelle qu’il s’apprêtait à ramasser le blé (ici la récolte se fait en fin avril et en mai).
UN OBJET MATÉRIEL AU SOL
Il s’était couché la veille de son observation un peu après la tombée de la nuit ( pas d’électricité à cette époque, on vit ici au rythme du levé et du coucher du soleil) , après sa journée de travail dans les champs, à surveiller les moutons et les animaux qui ici son quasiment en liberté, allant et venant entre un petit enclos attenant à la maison, fait de pierres et de terre et la campagne environnante. Il s’était allongé dans la pièce où nous étions, sur les tapis avec sa femme. Les enfants, quant à eux dorment dans une autre pièce, sur les nattes posées à même la terre. Déjà à cette époque, Mohamed avait des chiens, deux semble t’il se rappeler. Ils dorment dans l’enclos dont les murs sont utilisés sur deux côtés pour les pièces composant l’habitation et la bergerie.
Vers 2 h 00 du matin, les chiens aboient longuement, ce qui réveille Mohamed. Comme les chiens persistent à aboyer, il se lève et sort dans la cours. Ils tentent de rassurer les chiens car il ne voit rien d’anormal, mais ces derniers continuent à aboyer, tout en courant sans cesse et rapidement dans le patio.
Devant cette insistance Mohamed se dirige vers la porte qui donne sur la piste. Il sort, fait quelques mètres à droite, puis à gauche, il observe. Rien d’anormal. Les chiens ont-ils vu un chat, un autre animal sauvage, c’est sa conclusion et il rentre dans la cour, tentant de calmer les chiens. Ils se taisent durant quelques minutes, mais une fois que Mohamed est rentré dans la chambre, ils recommencent à aboyer. Mohamed a alors l’idée de regarder par la fenêtre qui donne sur le derrière de la maison, la face opposée à la porte de sortie sur la piste, juste par sécurité, pour vérifier s’il ne voit personne sur ce côté de la maison.
 
Là, surprise, la lune éclairant assez bien la campagne (mais ce n’était pas « l’éclairage maximum » de la lune précise-t-il, en conséquence ce n’était pas la pleine lune et on ne voyait donc pas dans les meilleures conditions.) il aperçoit une masse sombre, qui brille légèrement comme si c’était de l’aluminium, mais un aluminium assez sombre, comme s’il avait déjà vieilli. Cette masse était grosse comme « une Fiat familiale », mais toutefois de forme « ronde et allongée ». Je note un maximum d’informations, traduites par Brahim, sur un bloc à l’aide d’un stylo. Je propose à Mohamed de me faire un croquis de l’objet. D’un geste de la main, il me fait comprendre que « non ». Je regarde Brahim qui me dit : « mon père ne sait pas écrire, ni lire et n’a jamais tenu de sa main un stylo. D’ailleurs, dans la maison, il n’y en a pas …. »
Je dessine alors grossièrement plusieurs formes, entre le rond et l’ovale, y mettant même des « carrés », me souvenant de cas de ce type. Il me désigne alors une forme ovale, relativement allongée, en conséquence plus allongé que l’observation d’un ovni à terre, de forme ovale mais avec une sorte de coupole à Valensole en 1967. Toutefois, tout ceci après plus de 40 années, ne peut être qu’approximatif, Mohamed, n’ayant pas évoqué cette histoire depuis au moins 20 ans, voir plus !
Et comment s’était-il posé à terre ? Sur des pieds, la masse ovale était-elle directement sur le sol composé ici de terre et de beaucoup de pierre ? Mohamed ne se souvient plus très bien, il réfléchit, il décrit l’objet comme étant à un peu prés 1 m du sol, posé sur une « sorte de tonneau » très sombre. Je traduis cela par un pied central qui ferait la grosseur d’un tonneau de 200 l, ainsi qu’il me confirme, d’un métal (ou autre ?) de couleur sombre, plus sombre que l’objet. Hauteur un mètre environ pour une largeur apparente de 70 cms.
Par comparaison avec un véhicule de type Berline, l’objet ne devait pas avoir une longueur supérieure à 5 m pour une hauteur de 2 m au point central de l’objet. (Hauteur estimée et confirmée par le témoin, de la masse ovale, ce qui fait une hauteur maximal de 3 m à partir du sol.)
En regardant par la fenêtre, je me replace dans les conditions de l’observation, le sol est parsemé de nombreuses pierres, toutefois certains endroits, n’en comporte pas ou peu. La distance : on situe l’objet entre 80 et 120 m de la maison, du champ de vision par la fenêtre. En se replaçant sur les lieux mêmes, le témoin compte tenu de l’ancienneté de l’observation, ne peu situer à 10 ou 20 m près, l’endroit préci ou se trouvait posé l’objet;
L’objet ne présentait aucune porte, aucun hublot, aucun dôme et était parfaitement ovale, brillant seulement très légèrement. Il se détachait très bien malgré la nuit, car l’horizon est vide, pas ou peu d’arbres ou arbuste, des champs de blé et de légères collines à quelques kilomètre.
 
UN PERSONNAGE ÉTRANGE SE DIRIGE VERS L’OBJET

Ce qui a paru par contre le plus étrange, c’est que se dirigeait vers l’objet, un personnage qu’il assimile à des créatures dont on parle dans le coran, des Djinns qui viennent de l’au-delà, passent, disparaissent comme s’ils devenaient soudainement invisibles. Le personnage avait la grandeur d’un enfant de 15 ans, traduisons, pour ici, un enfant d’un mètre trente environ. Il était « maigre » et se déplaçait sur ses deux jambes. Il avait deux bras qui se balançaient semble-t-il le long du corps et une tête qui lui a parue énorme. Compte tenu de la faible intensité lumineuse, de la nuit, il ne peut détailler plus cet être, pour lui, seulement une silhouette noire qui se déplaçait, venant de notre maison et se dirigeant vers l’objet. Compte tenu de l’apparence de la créature, les vêtements étaient certainement peu épais, voir collants et n’avaient aucun rapport avec un scaphandre, une combinaison de cosmonaute, voir un gros manteau de laine !......
Il était alors à environ 5 - 6 m de l’objet, lorsqu’il le voit, il avançait en sa direction et une fois arrivé à deux mètres, il l’a alors contourné l’engin par la gauche. Il a alors à ce moment-là disparu derrière l’objet. Sa vitesse de déplacement était d’une allure normale de marche. Il s’attendait à voir apparaître à l’autre extrémité de l’objet, cette créature, mais ce ne fut pas le cas. Il n’avait jamais vu un tel objet, il ne savait pas ce que cela pouvait être, il a pensé à un voleur. Mais l’être ne transportait rien. Les chiens quant à eux continuaient à aboyer.
 
Sa femme s’était réveillée, mais ne s’est pas levé dans un premier temps. (La durée de l’observation étant de 2 à 3 minutes, le temps qu’elle émerge, qu’elle comprenne ce que Mohamed voyait, alors qu’il ne s’affolait pas, qu’il ne lui donnait pas de détail sur ce qu’il observait, elle n’a de fait rien vu). Quant aux enfants, pas de bruit, ils devaient dormir d’un profond sommeil. Mohamed, continue à observer, ne comprend pas, mais semble comme paralysé et n’entreprend aucune action. Il est parfaitement conscient, mais reste calme car pour lui aucun danger malgré qu’il n’ait jamais vu un tel engin.
L’OBJET S’ÉLÈVE EN DOUCEUR
Il y avait au plus 1,5 à 2 minutes que l’être avait disparu derrière l’appareil, que ce dernier se mit à s’élever lentement. On peut supposer que l’être à pénétré dans l’objet par la face opposée. Je lui demande ce qu’est alors advenu du pied sur lequel il reposait : il ne se rappelle plus, mais en l’air, l’objet avait bien une apparence ovale, sans rien en dessous.
 
Il s’est élevé ainsi durant quelques secondes, puis s’est arrêté à environ une dizaine de mètres de hauteur. (Imprécision toutefois sur cette hauteur, vu qu’il estime celle-ci à au moins trois maisons (une maison de terre fait au mieux 4 m de haut, ce qui nous donne une douzaine de mètre). L’objet était bien visible, car il se détachait sur le ciel dégagé. Il est resté ainsi immobile durant deux ou trois secondes et il est parti à l’horizontal, avec une élévation toutefois constante, vers le Nord Est, longeant ainsi l’Atlas en direction de l’Ourika. Sa vitesse était relativement rapide, l’objet ayant démarré instantanément à cette vitesse rapide, sans accélérer par la suite. Il a disparu en moins de trois secondes dans la nuit lointaine.
Cette scène s’est donc déroulée en environ deux minutes, sans qu’a aucun moment, Mohamed ne perçoive aucun bruit, aucun souffle, aucune modification de la chaleur environnante. Le tout s’est déroulé dans un calme parfait et il ne pouvait pas entendre du fait de l’éloignement, les pas de l’être sur le sol. Seul les aboiements des chiens étaient perceptibles, mais pas au point de couvrir un bruit éventuel de l’engin, du fait que ces derniers s’arrêtaient durant quelques secondes. C’est cette situation de calme qui a fait qu’il n’a pas paniqué, qu’il a observé, s’apprêtant toutefois à sortir pour voir la scène de plus près au moment ou l’objet a commencé à s’élever.
 
Il donne en deux mots la description de ce qu’il vient de voir, à sa femme, cette dernière est debout, mais ne comprend pas grand-chose à la situation, et il sort, décidé d’aller voir sur le lieu où l’objet s’était posé s’il ne restait pas quelque chose. Mais, il ne trouve rien, il fait sombre toutefois et on ne verrait pas un petit objet de couleur foncé au sol. Après avoir regardé à l’horizon, tout autour de lui, il rentre. Le lendemain matin, il ira à nouveau sur les lieux de l’atterrissage, mais il ne trouve aucune trace, ni même une emprunte. Toutefois, il admet avoir regardé grossièrement, si une emprunte légère dans le sol, sur la poussière, dans la terre était présente, il ne l’aurait pas vue.
 
ON EXAMINE LES FAITS
On examine les possibilités d’identification de cet objet. L’hypothèse de l’hélicoptère est envisagée, mais le fait qu’il n’y avait aucun bruit, à une aussi faible distance, on l’aurait entendu, on l’écarte rapidement. Il est vrai qu’à cette époque-là, Mohamed ne savait pas ce qu’était un hélicoptère, il n’en avait jamais vu. Un engin militaire secret : oui, lequel, nous sommes fin des années 60 et alors construire un tel engin qui n’émet aucun bruit, ce n’était pas réalisable. Nous ne trouvons aucune solution. La ressemblance avec les objets vus à Soccoro où à Valensole est toutefois frappante, c’est l’un des seuls points qu’on peut évoquer.
Le lendemain matin, la vie de Mohamed a repris, comme par le passé, il n’évoqua même pas cette affaire aux voisins, aux amis….. il n’aurait pas su comment leur expliquer cela et on ne l’aurait pas cru….. il a encore rêvé, Mohammed …. Il n’en parlera qu’à quelques reprises, sans toutefois approfondir comme il l’a fait aujourd’hui avec nous, à certains de ses enfants. Il n’explique quant à lui, toujours pas son observation, il ne sait pas ce que c’était. Cela ne le perturbe pas, s’il a été témoin de cela, c’est grâce à la volonté d’Allah comme il nous répète… Il n’a ressenti aucun effet sur lui-même, pendant ou après l’observation et cela ne lui a causé aucune maladie……. Jamais malade, il a toujours travaillé durement, dans ses quelques lopins de terre, qu’il cultive avec son mulet, ses ânes, tout comme il y a des siècles ………. . Il fait encore à son âge chaque jour, de nombreux kms à travers la campagne, gardant son petit troupeau de montons. Ici pas de retraite, on travaille jusqu’à la mort et heureusement, lorsqu’ils le peuvent, les enfants aident un peu.
Déjà 14 h 30, je quitte alors Mohamed et je le remercie bien vivement du témoignage qu’il nous a apporté. Le thé à la menthe, le pain fait ici même, à la maison et tout ce que nous avons mangé fait que nous n’avons vraiment pas faim. Brahim décide de rester ici chez son père, quant moi, je reprends la piste en direction de la Route de Knine à Tahanaout, repensant constamment à cette expérience vécue au fin fond de la campagne pratiquement désertique Marocaine….. Je me dis que des cas comme celui-ci, même certainement encore plus étranges, doivent exister en nombre ici au Maroc.
Ainsi qu’il a été promis, l’anonymat sera conservé, aucune photo prises sur les lieux et nous procédons à un photo montage pour les reconstitutions à partir de photos prises dans la région.
Gérard LEBAT (c)
 
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UN OBJET VOLANT NON IDENTIFIE OBSERVE SE DEPLACANT AU RAS DE LA MER A MARTYL (MAROC).
Enquête de Gérard Lebat
2éme Version comportant diverses analyses complémentaires
Il est 11 h 00 en cette matinée du 25 juillet 2007, un père et son fils profitent d’un moment de détente sur la plage de Martyl, près de Tétouan, dans le Nord du Maroc, lorsqu’ils voient arriver un objet se déplaçant à une vitesse très rapide au ras de la mer, venant de l’horizon, prenant soin de ne pas survoler la plage et qui repart vers l’horizon.
LE LIEU

 Monsieur N.B. et son fils, en vacances, se trouvaient sur la plage de Martyl, ils se situaient précisément en face des immeubles de l’ERAC, sur la nouvelle double voie de la corniche de Martyl. Martyl, orthographiée aussi « Martil » est située sur le littoral nord du Maroc, à environ 10 Kms à l’Est de Tétouan, 30 Kms de Ceuta.
 
C’est une ville d’environ 40 000 habitants, très touristique avec ses paysages fantastiques, ses conditions climatiques très agréables. Elle est aussi très appréciée pour sa plage, que l’on dit être l’une des plus belle du Maroc.

Proche de l’Espagne, de l’Europe, Martyl est située au Maroc et donc au Nord Ouest du continent Africain.
 
LES TEMOINS
Monsieur N.B. à 50 ans, il habite à Rabat (Maroc), il a fait, entre autre, des Études à La Sorbonne à Paris ou il a obtenu un Doctorat. Il occupe actuellement des fonctions importantes au Maroc, Directeur d’une grande école, spécialiste des villes anciennes du Maroc, il est l’interlocuteur de nombreux organismes internationaux comme l’Unesco, ou d’autres, Français, avec lesquels il conserve des liens très proches.
Sa position fait que son témoignage est considéré comme sérieux et digne de foi. Dans cette enquête, nous ne donnerons pas son nom, ce qui est compréhensible compte tenu de ses fonctions. Son témoignage est conservé dans les archives des Repas Ufologiques ou les coordonnées du témoin figurent.
Son fils à 17 ans, il poursuit actuellement des études supérieures dans une grande Université Parisienne.
Les deux témoins ne portent pas de lunette, leur vision est de 10/10. Aucun ne portaient de lunette de soleil ce jour là. L’observation a été faite à l’œil nu, sans autre moyen d’observation (Paire de jumelles ou autres).
L’APPARITION
Il était entre 11h 00 et 11h 30 GMT (heure marocaine équivalente à GMT) ce matin du 25 juillet 2007, N.B. et son fils profitaient de quelques jours de Vacances à Martyl et c’est ce jour et à cette heure qu’ils furent les témoins de l’évolution d’un engin bien étrange.
 
 
Ce matin là ils s’étaient rendus à la plage, la marée était haute (estimée, du fait que la mer était proche de la plage), il y avait un très beau ciel bleu, pas de vent, pas de nuages, pas de vague, la plage et l’environnement étaient calme et parfaitement naturel. Aucun bateau en vue, même pas une barque ou tout autre engin maritime, avant, durant et après l’observation. Des vacances parfaites dans un cadre idyllique, sans aucune activité industrielle à proximité, sans bruit, ni nuisance quelconque.
Monsieur N.B. surveillait de temps à autre son fils qui se baignait, proche du rivage. Peu de monde sur la plage, il faut être vigilant, un accident est vite arrivé. Il nageait, puis à un moment il s’assoit dans la mer, sur le sable, qui est à très faible profondeur à cet endroit. (A quelques mètres de la plage) C’est alors que le témoin remarque, venant de l’horizon en sa direction, un groupe d’objets qui se déplacent à une très grande vitesse, au dessus de l’eau.
Le groupe d’objets arrive vers les témoins, passe et tourne pratiquement au dessus du fils de Monsieur N.B. « J’ai pensé qu’il pouvait le toucher, leur approche me semblait dangereuse, mais toutefois, il est passé à proximité pour disparaître à une vitesse aussi importante vers l’horizon », précise le témoin. Il écrit dans le premier descriptif de la scène : « Ils ont disparus à l’horizon en moins d’une seconde.. ». Cette remarque n’est pas exacte, bien qu’elle reflète la rapidité de déplacement de la masse, le parcours pratiqué par cette masse de couleur grise, métallique, s’est fait, de droite à gauche, à la limite de l’horizon, en moins de 20 secondes. Il s’agit d’une estimation du témoin. (Le témoin précise, en ce qui concerne les couleurs : « ils n'avaient pas des couleurs vives remarquables mais ils semblaient être dans les tons gris, ni mon fils ni moi ne pouvons donner plus de précisions sur la couleur précise. Mais nous sommes tous les deux sûr que ce n'étaient pas des couleurs remarquables ou vives. »)
 
Ce groupe apparaissait comme étant une masse plane et horizontale formée de plusieurs objets identiques. Ces objets au nombre de 5 ou 6 repartis sur plus de 1m² environ, formaient un seul bloc volant en formation et en parfaite cohésion. La longueur et la largeur ne dépassaient pas un mètre sur une épaisseur de quelques dizaines de centimètres. En ce qui concerne la couleur de la masse, et plus particulièrement des objets qui la formaient, ils semblaient gris et on aurait dit qu’ils étaient liés entre eux par une matière transparente comme du verre. Je ne pouvais pas discerner clairement le contour des objets qui ne me semblait pas net car ils étaient les uns derrière les autres.
 
Le père est situé à environ 15 m du fils, l’objet est quant à lui passé à 10 m du fils, côté horizon.
(Soit le père voyant l’objet passer à environ 25 m de lui).
 
La vitesse était très grande, le témoin a pu se rendre compte de sa grande rapidité lorsque l’objet était au niveau de son fils, car à ce moment il était proche de lui. Il en a pris conscience précisément à ce moment ainsi que lors de son éloignement. La vitesse était constante, pas de variation. Le témoin estime que la durée de l’observation n’a pas dépassé les 20 secondes au maximum. (Durée comme pouvant être la fourchette haute de ce paramètre). Les objets sont apparus à l’horizon (voir ci-dessous à la rubrique « Hypothèses » la distance qui peut être retenue). La durée estimée du trajet (horizon/plage à hauteur de mon fils) et de la visibilité de l’objet était d’environ 5 à 7 secondes. Ces objets n’émettaient aucun bruit et autour de témoin, pas d’avion, pas de voiture, donc aucun bruit qui aurait pu cacher un bruit quelconque émis par la masse volante. Au passage de la masse et durant tout son déplacement, la surface de la mer était parfaitement plane, aucune présence de mini-vagues, vagues, bouillonnement ou autres phénomènes qui auraient pu être provoqués par le passage de la masse. La surface de la mer était vraiment comme un miroir. Nous notons également que la cinétique de la forme était parfaite sans décélération ni à-coups et aucune répercution sur la surface de l’eau.
 
La masse semblait évoluer à 50 cm environ de la surface de l’eau, on avait même l’impression qu’elle aurait pu toucher les nageurs, ajoute Monsieur N.B. Cette masse est passée a environ une dizaine de mètres de son fils, côté mer, car il a lui aussi pu observer l’engin qui est passé très près de l’endroit ou il se trouvait. Le déplacement général de l’engin s’est fait en forme de courbe, s’inscrivant parfaitement à la forme de la côte qui est très faiblement courbe. Il se déplaçait parallèlement à la mer, sans mouvement apparent, sans phénomène de vague, en conséquence sans descendre, ni monter.
 
Précisions donnée par le témoin : L'objet vu se situait à hauteur de nos yeux dans le centre de notre champ visuel sur la ligne d'horizon. Le soleil était aux azimuts de juillet ce qui veut dire que les rayons sont presque perpendiculaires au sol (86° à 11h30). Cette position ne provoque aucune réflexion ou contraste, bien au contraire, les objets sont éclairés avec des rayons perpendiculaires à notre axe d'observation.
 
Au niveau de l’ombre portée par la masse lumineuse, de par son métier, le témoin a l’habitude de faire attention à cet élément et il lui semble probable que c’est aussi avec l’aide de celle-ci qu’il a pu obtenir une mesure précise quant à la distance de l’objet par rapport à la mer (Environ 50 cms). L’ombre de cet engin, dont il en déduit la présence, ne présente donc aucun caractère anormal.
LES OBJETS
Cette masse, qui venait du nord, était composée de 5 ou 6 objets, 7 au maximum. Ces objets, d’une couleur située dans les tons gris, avaient une longueur de 30 cms environ, a peu près identique pour la largeur, aplatis et étaient parfaitement solidaires les uns par rapports aux autres (ils ne bougeaient pas en conséquence). Ils ressemblaient à des petits avions. Le témoin a observé ces objets sous trois angles différents : de face lorsqu’ils sont arrivés sur sa droite, de côté lorsqu’ils étaient à hauteur de son fils et enfin vu de l’arrière lorsqu’ils se sont éloignés.

Je me trouvais à une quinzaine de mètres de mon fils, ce dernier étant assis dans l’eau, à 5 ou 6 mètres du sable formant la plage. La plage de MARTYL est immense mais dans le voisinage de N.B., il n’y avait que 6 ou 7 personnes situées au minimum à 30 mètres. La plage était relativement vide. Parmi ces personnes certaines se baignaient, d’autres étaient assises sur la plage ou se tenaient debout, mais apparemment aucune n’a fait attention au phénomène. Le temps de comprendre et d’imaginer ce que pouvaient êtres ces objets au lointain, qu’ils passaient devant le témoin et repartaient sans même qu’il prenne conscience de les faire remarquer aux autres personnes présentes. Son fils, placé vraiment à proximité de ces engins, à quant à lui pu les observer et en fait la même description que son père. Monsieur N.B. n’a pas eu le temps de se déplacer durant l’observation, il est resté debout, stupéfait de voir ce phénomène qui lui était totalement inconnu.
 
VARIATION DANS LA DESCRIPTION ENTRE LE TÉMOIN NR 1 (LE PÈRE – MR N.B.) ET LE TÉMOIN NR 2 (LE FILS).
La question est de savoir si le témoin Nr 2 (le Fils) a pu observer des variantes par rapport à la description du père. Voici ce qui a été relevé, à propos de cette question, retracé et commenté par NB : la seule différence entre l'observation de mon fils et la mienne c'est que lui considère que le déplacement des objets s'est fait presque en ligne droite et moi je considère que c'est une courbe comme dans mon dessin. Peut être que c'est du au fait qu'il n'a remarqué les objet en question qu'une fois à sa portée et donc il n'a vue que la moitié du déplacement. Par contre c'était plus proche de lui. Il reconnaît que c'est plusieurs objets regroupés en seul système. Il confirme que ça ressemble à des petits avions parfaits. Que la vitesse est vertigineuse. Il parle d'un vol en formation. Pour lui, vue leur petite taille (30 cm chacun) les objets ont disparus avant l'horizon parce qu'il ne les voyait plus. Il faut dire aussi que le niveau de ses yeux était légèrement plus bas que le mien, étant donné qu'il était assis dans l'eau et que je ne voyais pas son maillot de bain. (je me situais aussi un peu plus haut, sur le sable de la plage.
CE QU’EN PENSENT LES TEMOINS
Tout de suite après l’observation, le témoin a pensé à des oiseaux qui planent ? Mais il a vite compris que la vitesse et la perfection du vol étaient étranges, incompatibles avec celles d’un vol d’oiseaux. Dans ce cas cela aurait été un vol d’oiseaux métalliques qui se déplacent à une vitesse vertigineuse. Son fils a eu la même impression, il a déclaré : « tu a vu ça ? C’est quoi ces trucs ? On dirait des petits poissons volants mais leur vitesse et la régularité de leur trajectoire est parfaite. Ce n est pas naturel !!!!! ». Le témoin à aussi pensé à un vol d’avions miniatures, des avions « clones » qui volent en formation mais la vitesse et la technologie qui aurait du être employée lui a semblée impossible et de plus, ils étaient vraiment petits. Maintenant, il évoque la possibilité qu’une puissance ait pu mettre au point des « sortes » de jouets miniatures capables de se déplacer sur une grande distance en quelques secondes !... Mais cela reste de l’hypothèse.
Quant aux personnes de l’entourage du témoin, à qui il en a parlé, elles sont indifférentes et son fils qui a observé avec lui le phénomène ne trouve pas d’explication. Il confirme seulement la description du phénomène, tel que je l’ai observé, par contre pour lui cette observation d’un ou de plusieurs engins insolites n’offrent aucun intérêt.
 
HYPOTHÈSES
1 - DIVERSES REFLECTIONS :
Comme il est indiqué dans le titre, ce chapitre ne concerne que des réflexions, ce ne sont pas des analyses élaborées par des spécialistes dans les domaines évoqués et qui seraient considérées comme définitives et inattaquables, mais uniquement des idées qui vont permettre ultérieurement à tous les lecteurs d’élaborer librement des hypothèses quant à une possible identification de cet objet.
LIMITE DE LA VISION
BORD DE MER
Altitude
Limite de vision
1,70 m 4,7 km
3,00 m 6,2 km
10 m 11,3 km
50 m 25,4 km
 
La vitesse
Dans la première version de ce rapport, nous avions présenté une analyse relative à une vitesse déterminée à partir de la vision maximale d’un œil humain en tenant compte de la situation des témoins mais sans tenir compte de la grosseur de l’objet. Cette mesure ne peut pas être retenue. Une analyse plus appropriée est présentée à la fin de ce chapitre. Notons toutefois que la visibilité maximum en mer , par un oeil humain placé d'ou se situait le témoin Nr 1 à environ 5 Kms, dans les meilleures conditions.
Les dimensions.
Les dimensions de la masse, (1m sur 1 m ) d’où par déduction de chaque petit objet (30 cms) qui la composait, sont parfaitement connues car estimées lors du passage de la masse qui s’est faite à environ 10 mètres du fils et 25 mètres du père.
Le bruit – Incidence sur la surface de la mer. L’avis de M.P. Ingénieur.
Le silence, inimaginable même pour un planeur à si courte distance, rattache cette observation à de nombreuses observations antérieures. Encore que sur ce point, mieux vaut être prudent.
.On pourrait objecter qu’un bruit du niveau de celui d’un moteur électrique aurait pu être couvert par le bruit des vagues (même si le témoin dit qu’il n’y en avait pas, il faut être réaliste : il y a toujours des vagues sur la méditerranée, même si certains jours elles sont plus douces et moins bruyantes) et du vent. Je ne connais pas le Maroc, mais sur la côte nord de l’Algérie, il y a toujours du vent, et c’est probablement pareil au Maroc. Suivant le sens du vent, un bruit peu important a pu rester imperceptible.
Notons toutefois que le témoins à vu l’objet à 25 m et que son fils l’a vu à 10 m, ce qui fait que ce paramètre est d’une bonne fiabilité : pas de bruit. (Ndlr)
Un objet rapide volant à 0,30 cms au dessus de l’eau devrait laisser un sillage sur l’eau (voir. ) à moins qu’il soit excessivement léger ou que sa sustentation ne soit pas basée sur les mêmes principes que nos ailes.
En conclusion : Un témoignage assez exceptionnel - Exceptionnel par la nature de l’observation : la taille des objets, leur vol en formation à proximité immédiate d’un baigneur, c’est, pour ce que j’en sais, du jamais vu.
La scène est soumise à une analyse « militaire » par J.P., qui connaît bien le dossier ovni.
En soumettant la scène à l’analyse militaire des paramètres de camouflage/non camouflage :
 
F orme : non définie avec précision. Normal : l’objet est observé pratiquement dans son épaisseur, sur la tranche, sauf dans la trajectoire proche (plus que quelques degrés sur l’horizontale)
O mbre : pas mentionnée (la hauteur sur l’eau décrite sous un soleil à 81° rend l’ombre inséparable de l’objet), sauf en trajectoire « proche ».
M ouvement : Oui, décrit. Ce mouvement n’est détectable, au début, par les témoins que dans sa composante angulaire latérale, dépendant donc de la distance et de la vitesse de l’objet. Un objet très éloigné, même très rapide a un déplacement angulaire lent, pas immédiatement détectable.
E clat : aucun.
C ouleur : aucune (le gris général n’est pas un élément d’identification par contraste).
Les conditions militaires du camouflage, de l’indiscernabilité sont donc toutes réunies à l’exception du mouvement.
Pourrions nous avoir à faire à un engin militaire ? Une remarque que nous pouvons faire, c’est que le lieu ne serait pas le mieux choisi.
L’avis d’un psychiatre (après la lecture du rapport et non pas lors d’une consultation)
J'ai bien lu le rapport de ce témoignage. Je ne vois, dans ce rapport relaté par les observateurs, aucune possibilité de distorsion liée à quelque phénomène psychologique ou psychiatrique que ce soit. Ainsi, je pense en toute conscience qu'il s'agit bien là d'un phénomène lexis non élucidé.
Franck X
Commentaires sur l’analyse des témoignages de Martyl.
Par Claude POHER, Dr en Astrophysique, ancien directeur du Gepan.
 
Merci à Monsieur Lebat de nous avoir fait connaître ces témoignages.
 
Je souhaite cependant revenir sur certains détails de l’analyse de cette observation, à titre strictement pédagogique, afin de partager mon expérience.
Les faits importants pour le physicien :
Les deux témoins du phénomène l’ont observé à l’œil nu, soleil presque à la verticale.
Cette observation s’est déroulée le 25 Juillet 2007, vers 11 heures du matin, sur une plage méditerranéenne du Maroc, par un très beau temps, très calme, très chaud, et très ensoleillé.
Le phénomène s’est très brièvement approché à 10 / 20 mètres des témoins. A cette distance, la vision binoculaire des témoins leur a probablement permis à chacun d’évaluer correctement l’ordre de grandeur de la taille du phénomène et peut-être aussi sa distance minimale.
C’est toutefois plus délicat, en ce qui concerne la distance, faute de références au-dessus de la mer, avec un phénomène observé pour la première fois, parce qu’il n’y avait, semble-t-il aucun effet sur la surface de l’eau, pour pouvoir fixer inconsciemment la verticale du phénomène. La vision binoculaire n’est d’aucun secours dans la direction verticale, face à la mer.
La trajectoire incurvée du déplacement du phénomène est restée proche de la surface de la mer, dans un plan horizontal, (environ à 0,5 mètre au-dessus de la surface de l’eau), à peu près à la hauteur des yeux des témoins.
La durée totale de l’observation a été estimée entre 10 et 20 secondes. Les témoins ont cependant affirmé avoir été étonnés de la rapidité du mouvement, et du silence total. Une durée de 20 secondes est en effet extrêmement longue, il suffit d’examiner un chronomètre pour s’en convaincre.
Les dimensions du phénomène ont été estimées subjectivement par les témoins : environ un mètre dans le sens horizontal, et quelques dizaines de centimètres en épaisseur verticale. Les témoins décrivent quelques détails de la configuration du phénomène.
Commentaires de physique (optique de l’œil humain) :
L’œil humain « parfait » possède une résolution angulaire d’une minute d’arc environ (1/3000 e de radian). Cela est le résultat de plusieurs facteurs, comme la taille des cellules photosensibles de la rétine, le diamètre de l’optique de l’œil, les caractéristiques du milieu transparent interne, etc …
Cette caractéristique incontournable de résolution signifie qu’aucun objet n’est observable par un humain si sa dimension apparente (diamètre / distance) est inférieure à 1/3000.
Par conséquent, pour un phénomène d’un mètre de diamètre, la distance maximale à laquelle un homme pourrait le distinguer est de 3000 mètres, dans des conditions atmosphériques idéales. Pour un détail de 10 centimètres, c’est 300 mètres.
Et pour un observateur non prévenu de l’apparition d’un tel phénomène silencieux, il est évident qu’il ne commencerait à le distinguer que beaucoup plus près de lui. On peut dire que l’image du phénomène devrait occuper plusieurs cellules rétiniennes pour être perçue.
Dans ces conditions (toujours idéales sur le plan atmosphérique) il est donc préférable de considérer que l’objet a pu être perçu par l’œil humain, au début de l’observation, à 2000, voire 1000 mètres de distance. Certainement pas à 5 kilomètres comme il est proposé. (1)
En ce qui concerne la phase d’éloignement du phénomène, c’est sans doute une distance maximale de 3000 mètres qu’il faudrait retenir, en conditions atmosphériques idéales, parce que les yeux suivent le phénomène jusqu’à ce qu’il ne puisse plus être observable.
Bref, en conditions atmosphériques idéales, ce phénomène aurait parcouru 4 à 5 kilomètres au maximum en 10 à 20 secondes.
Cela correspondrait à une vitesse minimale de l’ordre de 200 mètres par seconde, et une vitesse maximale de l’ordre de 500 mètres par seconde. La vitesse du son est de 340 mètres par seconde.
Commentaires d’optique atmosphérique :
Cependant, les témoins décrivent un phénomène de couleur grise, qui est observé près de l’horizontale, au-dessus de la mer.
Dans ces conditions, on ne peut pas dire que l’observation se soit déroulée dans des conditions atmosphériques idéales. En effet, au ras de l’horizontale, par temps très chaud et ensoleillé, il existe une considérable diffusion atmosphérique. Par conséquent, le contraste entre le phénomène de couleur grise, et le fond du ciel (blanc laiteux près de l’horizon) est très fortement atténué.
Or c’est uniquement le contraste ciel / phénomène en déplacement qui attire l’attention des témoins.
La diffusion atmosphérique rend donc encore plus difficile la perception du phénomène à grande distance, surtout qu’il s’agit d’un phénomène silencieux, qui ne peut attirer l’attention que par son contraste par rapport à la luminosité naturelle de l’horizon.
En ajoutant les contraintes liées à la diffusion atmosphérique, il apparaît ainsi très probable que la distance à laquelle un phénomène, de cette taille et de cette couleur grise, silencieux, ne pouvait être perçu par les témoins, que bien plus près que 3 kilomètres. Peut-être moins de 1000 mètres.
La vitesse réelle du phénomène devrait donc être nettement inférieure aux limites calculées précédemment.
Dans ces conditions il me semble très prématuré de conclure à une vitesse supersonique, et d’en déduire diverses considérations. C’est ce genre de conclusion prématurée qui crée un malaise chez ceux qui ne partagent pas notre point de vue. Nous devons absolument éviter les conclusions hâtives. Conclure signifie que l’enquête est achevée.
Ce n’est pas le cas ici.
Ne pas poser des questions sur la distance, les dimensions, ou la durée : simuler, mesurer, chronométrer.
On se rend compte que l’analyse d’un témoignage de ce genre repose sur des paramètres clé, que sont les dimensions du phénomène, sa distance d’observation, la durée des diverses phases de la trajectoire.
On a donc tout intérêt à cerner ces données de manière aussi objective que possible.
Par expérience, j’ai constaté qu’il est possible, et préférable, de faire appel à la mémoire visuelle et temporelle des témoins. Même des années après les faits.
Par conséquent la meilleure méthode semble être d’amener les témoins sur le lieu même de leur observation, avec des conditions (heure, météo) aussi similaires que possible.
Au lieu de les interroger (les mots sont des pièges, ils n’ont pas la même signification pour chacun), il est préférable de tenter une simulation physique des faits, phase par phase, les témoins participant séparément et sans s’observer mutuellement.
Pour effectuer la simulation, on pourrait ici utiliser une « maquette » en carton, grise, fixée sur une rame tenue verticalement, par un assistant, dans une barque motorisée. Le témoin, placé là où il se trouvait sur la plage, se contenterait de dire par radio : plus loin, plus près, plus à gauche ou à droite, oui c’est à peu près cela, etc … Et rien d’autre.
Un GPS ou un théodolite (ou de simples piquets et un décamètre) donneraient alors aux enquêteurs aisément les diverses distances, de manière beaucoup plus objectives. Il faudrait procéder plusieurs fois, pour chaque témoin, sans possibilité d’interaction entre eux et faire des moyennes. C’est ainsi que les meilleurs résultats sont obtenus, en général.
Cette méthode est très efficace, on est souvent étonné de la concordance des témoins.
De même, pour les durées, qui sont toujours cruciales, ne pas poser de questions, mais faire plusieurs simulations, avec chaque témoin séparément, sans qu’ils se concertent.
Chaque témoin essaie simplement de se concentrer sur ses souvenirs, en silence, yeux fermés si besoin, et il essaie de montrer l’évolution de la direction de sa propre observation, de mémoire, avec son bras tendu, pour expliquer aux enquêteurs sans parler. Le témoin tente surtout de respecter, dans sa mémoire, la vitesse d’évolution du phénomène.
Le corps humain possède plusieurs horloges internes, et en garde inconsciemment la mémoire, même des années après les faits.
Un enquêteur examine les gestes des témoins et chronomètre simplement chaque phase reconstituée, sans rien dire, en se contentant de noter les durées lues au chronomètre (silencieux).
On procède ainsi plusieurs fois, afin de calculer des moyennes, phase par phase (approche, passage à faible distance, éloignement). Il ne faut surtout pas indiquer les durées chronométrées au témoin pendant la reconstitution, pour ne pas créer de situation de contradiction entre son évaluation personnelle et le chronomètre.
On procède séparément pour chaque témoin, et l’on calcule des moyennes.
Cette méthode révèle souvent de grandes surprises. Les durées mémorisées réelles sont très souvent bien plus courtes que celles évaluées de vive voix (5 fois plus faibles parfois).
Cette méthode de reconstitution des durées n’impose pas nécessairement de se rendre sur place, le témoin peut tenter de revivre la scène dans un fauteuil, loin des lieux.
Cependant, en ce qui concerne l’évaluation des dimensions et des distances, associées à un effet de contraste, rien ne vaut une simulation sur place, dans des conditions réalistes.

Cette observation est certes intéressante, mais il reste beaucoup à faire avant de conclure.
Avec des résultats plus objectifs, la discussion et les conclusions n’en auront que plus de poids, évidemment.
Alors au travail !
2 - Aucune hypothèse prouvée à ce jour quant à l’identification du phénomène.
Comme on peut s’en douter, après lecture d’un certain nombre d’avis, à ce jour nous n’avons pu donner aucune explication à cette observation. Aucun élément ne nous permet de prouver avec certitude qu’il s’agit de tel ou tel objet terrestre ou phénomène naturel. Il reste donc à ce jour un « ovni » ! Le dossier n’est pas clos, si vous avez quelques idées contactez nous : lebat1@aol.com
Enquête et analyse de Gérard Lebat et les auteurs des différentes réflexions. 
REPRODUCTION INTERDITE PROPRIETE LITTERAIRE DES  AUTEURS
(1) 5 Kms, portée maximum de la vision de l’œil à partir de l’emplacement des témoins. Élément utilisé, à tort, dans une version précédente de ce rapport pour en déterminer la distance maximum ou aurait été vu l’objet lors de son apparition.
Nota : Les différentes durées relatives à l’observation données ici sont des estimations faites un an après, bien qu’imprécises, reprises telles que données par le témoin, elles nous donnent une idée de la durée de l’observation et donc de la rapidité du déplacement de cette masse, qui s’est faite entre 10 et 20 secondes. (Durée de la visibilité du phénomène).
Ce rapport a été rédigé à partir de plusieurs écrits du témoin, fait à notre demande, relatant l’observation, le premier datant de deux à trois mois. Les éléments constitutifs de ce rapport ont donc été « réfléchis » et ne sont pas le résultat d’une enquête verbale ou les informations auraient été retranscrites donc modifiées ou interprétées. L’enquête a été faite au Maroc par le signataire.
 

English language version

UFO hovering above sea off beach in Marocco
 
It is 11 am 00 this morning of 25 July 2007, a father and son enjoy a moment of relaxation on the Martyl, beach near Tetouan in northern Morocco when they see an object moving very fast at sea level, coming from the horizon, careful not to fly over the beach and then speeding back towards the horizon. GEOGRAPHIC SITUATION
Mr NB and his son were on the beach, they were exactly opposite the ERAC buildings on the new double track of the Martyl cornice. Martyl is located on the northern coast of Morocco, about 10 km to the east of Tetuan, 30 Kms from Ceuta.
It is a city of about 40 000 inhabitants, very touristic with fantastic landscapes and pleasant weather. It is also very popular for its beach, which are said to be some of the most beautiful of Morocco. Close to Spain, Europe, Martyl is located in Morocco and therefore the North West of the African continent.
THE WITNESSES
Mr NB is 50, lives in Rabat (Morocco), he studied at the Sorbonne in Paris where he obtained a PhD. He currently holds important positions in Morocco, Director of a large school, a specialist in ancient cities of Morocco.
His position is such that his testimony is considered serious and credible. In this survey, we will not give his name.
His son is 17; he is currently pursuing higher studies in a large University of Paris.
The two witnesses do not wear glasses; their vision is 10/10. None were wearing sunglasses that day. The observation was made with their sight, without other means of observation (pair of binoculars or other). THE SIGHTING Between 11 and 11:30 AM on the morning of july 25 th 2007, N.B (50° and his son (17) are vacationing in Martyl a well known maroccan touristic city.
They had decided to go to the beach that morning, tide was high, a beautiful cloudless sunny day , no waves : just a perfect environment. No boat to be seen on ocean surface, no seafaring craft anywhere in sight before, during and after sighting. This vacation place is also industrial pollution free , no nuisance of any kind.
Mister N.B watches his son every now and then who was close to shore in the sea .while monitoring his son he suddenly sees a formation of objects flying feet above the sea level coming from the horizon at great velocity .AS these UFO s arrive at the level of the witnesses, they turn sharply seawards and fly away at great speed.they turned just about at where N.B s son was standing from this witnesses standpoint about 15 meters away.
"i thought they were going to hit my son , their approach seemed dangerous but didn t and just passed closeby to then speed away and disppear in a second" states the witness.
The sighting last approximately twenty seconds. the flying crafts flew from apparent horizon to beach and out of sight again , right to left , and appeared to be metallic in aspect.Both witnesses do not recall colours of unidentified carfts but recall "they had no remarkably vivid colours but seemed to be grayish in aspect".
The 5 UFO s seemed solidly linked together somehow though shaped by separate identical objects."they seemed linked together by a transparent material glasslike " declares N.B."objects being one in back of another I couldn t see them clearly".
The speed was very high; the witness was able to account for its high speed when the object was close to his son. The speed was constant, no variation. The witness estimated that the observation did not exceed 20 seconds. (Length as being the upper range of this setting). The objects have appeared on the horizon. The estimated duration of the displacement of objects (for the beach up to my son) and visibility of the object was about 5 to 7 seconds. These objects were noiseless around the witness. no wind, no cars, or any noise that could hide any noise emitted by the flying crafts. the sea surface was perfectly flat, no presence of shoreberak, waves, boiling or other phenomena that could have been caused by the passage of the UFOs. The surface of the sea was really like a mirror. We also note that the kinetics of the shape was perfect without deceleration or wake effects on the water surface;
The mass seemed to move about 50 cm from the surface of water, we even had the impression that it could affect swimmers added Mr NB. The general movement of the objects was in a curve, fitting perfectly the shape of the beach (very low curved).
More Details given by the witness: The object was seen at eye level in the center of our field of vision on the horizon. The sun was at its highest in July which means that the rays are almost perpendicular to the ground (86 ° at 11.30 AM). This means their in reflect ion or contrast, on the contrary, objects are lit with rays perpendicular to the axis of observation.
The shadow cast by the luminous mass enabled the witness to pay attention to this phenomenon and it seems likely that it is also with the help of this he was able to obtain an accurate measurement of distance of the object above the sea (about 50 cms).
THE OBJECTS
The mass, which came from the north, consisted of 5 or 6 items, maximum 7. These greyish objects had a length of about 30 cms all identical; They looked like small aircrafts. The witness observed these objects from three different perspectives: front view when they arrived on his right, sideways when they were close to his son and from the rear when they dashed away.
I was about fifteen meters from my son, who was sitting in the water on the beach. The beach is huge but MARTYL in the vicinity of NB were only 6 or 7 people. The beach was relatively empty. Of these some bathed, others were sitting on the beach or stood, but apparently none had paid attention to the phenomenon. His son very close to these "airplanes" was also able to observe and gave in fact the same description as his father. Mr NB did not have time to move during the observation he remained standing, stunned to see the phenomenon that was totally unknown.
Variations IN THE DESCRIPTION BETWEEN THE WITNESS NR 1(FATHER - MR NB) and the witness NR 2 (THE SON).
The question is whether the witness Nr 2 (the Son) observed variations in relation to the description of the father. Here is what was raised about this issue, and commented by NB: The only difference between the observation of my son and mine is that he considers the moving objects were moving in a straight line while I consider they turned around in a curve. Maybe this is because he had noticed the object in question only close to him and so he hadn t a view only of half the displacement of entire sighting from horizon to beach and away he recognizes that these objects were also grouped into a single system. he also confirms that it looked like small aircrafts. Their speed was immense.
WHAT THE WITNESSES STATE
Immediately after the observation, the witness thought of birds but soon realized that the speed and perfection of the flight were strange, incompatible with those of birds. In this case it would have been a flight of metallic birds moving at breakneck speed. His son had the same impression, he said: "You see that? What is this stuff? It looks like small flying fish but the speed and regularity of their trajectory is perfect. It is not natural !!!!!." The witness also thought of a flight of miniature aircraft, aircraft "that fly in formation but the speed and technology employed seem impossible and moreover, they were really small". As for people around the witness, whom he talked with saw nothing and felt indifferent .
HYPOTHESES 1 - VARIOUS REFLECTIONS:
As indicated in the title, this chapter covers only thoughts, they are not prepared analysis by specialists in the areas mentioned, which would be regarded as definitive and unassailable, but only ideas that will allow all subsequent readers freely develop hypotheses about the possible identification of this object.
Speed In the first version of this report, we presented an analysis on a rate determined from the vision of up to one eye, taking into account the situation of witnesses, but without taking into account the size of the object. This measure can not be accepted. A more appropriate at the end of this chapter.
The dimensions
The dimensions of the mass (1m on 1 m) or by each small object (30 cms), which included, are well known as estimated during the passage of the mass was about 10 meters from the son and father of 25 meters.
Noise - Impact on the surface of the sea opinion from MP Engineer
Silence: unimaginable even a glider at short distance makes noise, this observation relates to many previous ones. Although on this point, it is better to be cautious.
It is arguable that a noise level of that of an electric motor could be covered by the waves (even if the witness said there were none, we must be realistic: there are always waves of the sea, even if some days they are softer and less noisy) and wind. I do not know Morocco, but on the north coast of Algeria, there is always wind, and probably the same in Morocco. Depending on the direction of the wind, a little noise could be imperceptible.
Note, however, that the witness saw the object from 25 m and his son was 10 m away, so the setting is a good reliability: no noise.

An object flying fast 0.30 cms above the water should leave a wake on water (see) unless too light or its sustenance is not based on the same principles that our wings.
 
In conclusion: A witness quite exceptional - exceptional by the nature of observation: the size of objects, their formation flying in close proximity to a swimmer is, as far as I know, unprecedented.
 
Comments on the analysis of the Martyl case
By Claude POHER, Dr. Astrophysics, former director of GEPAN , French official organization in charge of studying unidentified aerial phenomena
Mr Lebat thank you for making us aware of these testimonies.

I hope to return to some details of the analysis of this observation, in a strictly educational maner, to share my experience.

Facts material to the physicist:
The two witnesses of the phenomenon observed it with their naked eyes, the sun almost vertical. This observation was held on 25 July 2007, around 11 am, on a Mediterranean beach in Morocco, by a very sunny, very quiet, very warm day.
 
The phenomenon was brief and close as up to 10 / 20 meters from the witnesses. At this distance, the binocular vision of witnesses has probably helped everyone to properly assess the magnitude of the size of the phenomenon and perhaps also its minimum distance.
 
However, more delicate, with regard to distance, lack of references over the sea, with a phenomenon observed for the first time, because there was apparently no effect on the water surface, to determine the verticality of the phenomenon. Binocular vision does not help in the vertical direction, facing the sea The curved path of travel of the phenomenon has remained close to the sea surface in a horizontal plane (about 0.5 meters above the surface of the water), at about eye level of witnesses. The total duration of observation was estimated between 10 and 20 seconds. a Witness however said he was surprised at the speed of movement, and of the silence of the observation. A period of 20 seconds is extremely long, just consider a stopwatch to check this.
 
The dimensions of the unidentified objects were estimated subjectively by witnesses about a meter in the horizontal direction, and a few tens of centimeters in thickness vertically. Witnesses describe some details of the configuration of the phenomenon.
 
Comments on optics of the human eye:
The human eye has an angular resolution of one minute of arc (1 / 3000 e radian). This is the result of several factors, such as the size of the photosensitive cells of the retina, the diameter of the optics of the eye, the characteristics of the internal transparent medium, etc. ...
This resolution must mean nothing is observable by a human if its apparent size (diameter / distance) is less than 1 / 3000.
 
Therefore, for a phenomenon of a meter in diameter, the maximum distance at which a man could distinguish it is 3000 meters, in ideal weather conditions. For details of 10 centimeters it is 300 meters. And for an observer not warned of the emergence of a quiet phenomenon, it is clear that it would begin to distinguish that much closer to him.
 
In these conditions (always ideal from the air) it is preferable to consider that the object has been perceived by the human eye, at the beginning of the observation, from about 2000 or 1000 meters.
 
Regarding the removal phase of the phenomenon one may consider probably a maximum distance of 3,000 meters to be retained, in ideal weather conditions, because the eyes follow the phenomenon until it can no longer be observable.
 
In short, in ideal weather conditions, this would have gone 4 to 5 kilometers or less in 10 to 20 seconds. This would correspond to a minimum speed of around 200 meters per second, and a maximum speed of around 500 meters per second. The speed of sound is 340 meters per second.
 
Comments Atmospheric :
witnesses describe a pattern of gray, which is observed almost horizontally over the sea
In these circumstances, we can not say that the observation was held in ideal weather conditions.
 
But it is only the contrast sky / travel phenomenon that attracts the attention of witnesses.
The atmospheric circulation makes it even more difficult the perception of the phenomenon range, especially since it is a silent phenomenon that can not attract attention by its contrast with the natural light from the horizon.
 
By adding the constraints of the atmospheric conditions, it seems very likely that the distance at which a phenomenon of this size and this gray, silent, could not be seen by witnesses from a distance of 3 km. less than 1,000 meters. would seem more probable.
 
The actual speed of the phenomenon should be significantly less than the limits calculated above. In these circumstances it seems to me highly premature to conclude it moving at supersonic speed without defining various considerations. This kind of premature conclusion that creates unease among those who do not share our point of view. We must absolutely avoid hasty conclusions. Conclusion means that the investigation is completed.
 
It is not the case here.
 
Do not ask questions about the distance, size or duration: simulate, measure, timing. We realize that the analysis of evidence of this kind is based on key parameters, which are the dimensions of the phenomenon, the distance of observation, the duration of the various phases of its trajectory. It is our interest to identify this data as objectively as possible.
 
From experience, I found that it is possible and preferable to appeal to the visual and temporal memory of witnesses. Even years after the fact.
 
Therefore the best method seems to be to get the witnesses at the location of their sighting in compliance with conditions (time, weather) as similar as possible.
 
Instead of them (the words are traps, they do not have the same meaning for everyone), it is better to try a simulation of the physical facts, phase by phase, the witnesses involved separately and observe each other.
 
To make the simulation, here we could use a grey cardboard simulating the objects held vertically by an assistant in a motorized boat. The witness, placed where they were on the beach, would only say by radio radio " closer, more to the left or right," ... And nothing else.
A GPS or a theodolite (or simple poles and a decameter) investigators would then easily obtain more objective distances of displacement.
 
This method is very effective, we are often surprised at the consistency of the witnesses. Similarly, for the duration, do not ask questions but let the witnesses each separately describe and wait the duration they believed observation took place with investigators measuring each time the estimated break down period lasted.
 
Each witness should focus on his memories, in silence, eyes closed if necessary, and trying to show the evolution of his own observation using memory, so as to to explain to investigators without speaking. Witness trying to respect, in his memory,the speed of evolution of the phenomenon.
 
The human body has several internal clocks, and guards unconscious memory, even years after the fact. An investigator examines the actions of witnesses and the stopwatch simply reconstituted each phase, without saying anything, simply noting the time elapsed with the stopwatch in silence.
 
This should be done several times in order to calculate averages, phase by phase (approach, passing a short distance, distance). Do not indicate the length timed to witness in order not to create situations of conflict between his personal assessment and timing.
 
Proceed separately for each witness, and calculate average figures.
This method often reveals great surprises. The actual period of times averaged are often much shorter than those measured orally (5 times lower in some cases).
 
This method of recovery time does not necessitate going on site, the witness may attempt to revive the scene in a chair, away from the scene.
However, regarding the assessment of dimensions and distances, coupled with a contrast, nothing beats an on-site simulation, under realistic conditions.
 
This observation is certainly interesting, but much remains to be done before concluding.
With more objective results, discussion and conclusions would give them greater weight, of course.
 
End of return answer from GEPAN former chiarman , mister Claude Poher , PHD ASTROPHYSICS - No event proved so far as to identify the phenomenon.
 
As might be expected, after reading a number of opinions, so far we could not give any explanation for this observation. There is nothing we can prove with certainty that this is a particular object land or natural phenomenon.
 
The file is not closed, if you have any ideas please contact gerard lebat by email at lebat1@aol.com
 
Gérard LEBAT – Translate : John Tomlinson (c)
 
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L'OBSERVATION DE L'OUKAIMEDEN (MAROC) DU 20 DÉCEMBRE 2008 SERAIT UNE MÉTÉORITE !
Enquête de Gérard Lebat (c)
 
C’est à partir de cet article et de cet appel à témoin passé sur le site des Repas Ufologiques et sur divers forum que nous avons décidé d’enquêter sur l’objet en question. Dans la région de l’Ourika, Tahanaout, nous n’avons retrouvé que des personnes ayant entendu un bruit anormal. . Pas de témoin direct. Toutefois, sur les forums, l’information allait vite faire son petit chemin. La presse dans son ensemble, à l’exception d’ « Al Massae » n’a pas fait mention de cette observation. Pas un mot à la télévision. Les médias, comme à l’habitude sur ce sujet, sont ici d’un parfait mutisme, alors que des milliers de personnes se posent des questions à propos d’un phénomène dont elles ont été les témoins. Rien n’y fait, on ignore !
 
Nous avons relevé sur le net, quelques rares témoignages, dont nous extrayons les éléments principaux :
Un premier témoin s’étonne :
« Une violente secousse a été perçu dans l’Ourika et même sur Marrakech. (40 kms de distance au minimum). Moi je l’ai vécu, je croyais qu’un mur de ma maison s’écroulait. Des gens on vu comme une étoile filante, tandis que d’autres le décrivait comme un éclair lumineux très intense…. »
Un autre témoin qui habite Agadir décrit le phénomène ainsi :
« J’ai vu dans le ciel un gros éclat, une boule énorme avec une traînée blanche derrière. Elle se dirigeait vers l’Est. A un moment de l’observation elle était de couleur verte. (Comme un flash vert) Puis elle est redevenue de couleur rouge/orange. Elle s’est embrassée, enflammée. La durée de l’observation est d’environ une vingtaine de seconde et elle descendais du ciel vers la terre. Elle a disparu derrière les montages. »
Même à Ouarzazate
« J’habite sur la région de Ouarzazate, on a aussi entendu un bruit énorme. Des gens disent que c’est une météorite ».
Un témoin à Rabat signale :
« J’ai observé ce phénomène mais l’objet était petit, j’ai pensé que c’était une étoile filante ».
A partir de ces témoignages, il est évident que l’hypothèse de la rentrée dans l’atmosphère d’une météorite était la conclusion la plus probable. De plus le bruit et la secousse, laissait à penser que sa chute n’était pas très éloignée. L’Atlas, la zone de Ouarzazate faisaient alors l’objet de recherches actives sur le terrain de la part de plusieurs chercheurs.
Interrogé à ce propos, quelques heures après l’événement, Monsieur Benkhaldoun Zouhair, directeur de l’observatoire de l’Oukaimeden, Directeur du Laboratoire de Physique des Hautes Énergies et Astrophysique - Université Cadi Ayyad, à Marrakech, nous informais le 29 décembre de l’état de ce dossier, à sa connaissance :
"Concernant l'information que vous citez en référence nous l'avons comme vous appris par voie de presse.Nos deux observatoires aussi bien à l'Oukaimeden qu'au Jbel Aklim n'ont rien détecté. Le réseau sismologique du Centre National de Recherche Scientifique n'a rien signalé. Nous nous sommes déplacé dans la région de l'Ourika la gendarmerie locale nous a dit qu'aucun impact n'a été signalé dans la région, il semblerais, si impact il y'a, que ca serait plus au sud est vers Ouarzazate.Ça reste à confirmer.
Merci pour votre intérêt.
Benkhaldoun Zouhair
Directeur du LPHEA "
 
Ce dossier, était au point mort, nous pensions qu’il s’agissait d’une météorite, hypothèse la plus probable selon les descriptions relevées, mais nous en restions là, jusqu’à ce que Philippe Thomas de Meteoritica.com nous informe le 10 janvier 2009, de ce fait nouveau :
« En fait, l'objet dont parle l'article du quotidien Al Massae était une météorite.
Une pierre a été trouvée à 30 km au Nord-Ouest de Ouarzazate »
Nous souhaitions en savoir un peu plus sur les circonstances de cette découverte, dans les heures qui ont suivie, Philippe Thomas nous indiquait qu’un de ses correspondants qui habite le Sud Maroc est parti sillonner la région de Ouarzazate ou certaines personnes avaient entendu dire qu’il y aurait peut-être une météorite de tombée dans la région. Après une semaine intensive de recherche, ce correspondant a enfin rencontré une personne qui a trouvé une pierre brisée en plusieurs morceaux à 30 Kms au N.0. de Ouarzazate. Cet échantillon est entre les mains des scientifiques pour analyse et authentification. (Université Pierre et Marie Curie à Paris)
Nous attendons donc d’en savoir plus sur cette météorite.

Site animé par Philippe Thomas : http://www.meteoritica.com/
LA MÉTÉORITE DU 20 DÉCEMBRE 2008
AUTHENTIFIÉE PAR LES SPÉCIALISTES
C'est officiel, la météorite du 20 décembre 2008 est authentifiée et reconnue comme telle par les scientifiques.
Tamdaght,
Ouarzazate province,
Morocco
Fell Saturday 20 December 2008, 22h37
Classification and declaration pending
One broken stone weighing 1 694g and one hundred fragments from the same stone adding up 2 649 g were found near Tamdaght (30 km N-W of Ouarzazate)
 
Tamdaght
Ouarzazate Province, Morocco 31° 05' N7° 08' WFell: 20 December 2008, 22h37
Classification & declaration pending
Mass (g): 2649Pieces: Many
Info: Main mass, Léa & Philippe Thomas.

Tout ce travail a été fait par Philippe Thomas de meteoritica.com et ses collaborateurs, que nous félicitons ici.
 
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