7 - L'HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC - 2003 - 2007





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L'HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC


23 FEVRIER 2003 - AGADIR
Bonsoir,
J'ai beaucoup hésité avant de témoigner. J'ai cherché à retrouver l'image du vaisseau que j'ai vu en date du 23 février 2003 (vers 2h00 du matin). Je me trouvais à l'hôtel Tikida Beach à Agadir (Maroc). J'occupais avec mon ami un duplex avec vue sur mer.
On se trouvait donc en haut du duplex, j'étais assise sur un canapé à écouter l'ami parler quand à un moment j'ai senti sur ma gauche à l'extérieur (il y avait une fenêtre) quelque chose passer, je me suis vite retournée et j'ai vu quelque chose passer de couleur bronze. Je me suis dit à ce moment précis "tu délire" ça ne peut être juste qu'une illusion. Pendant que je réfléchissais à ça, quelques secondes plus tard, un engin passe devant nous, à l'extérieur, au-dessus de la plage, silencieux, de la taille d'un sous-marin et de couleur bronze, avec plein de petits hublots de couleur orange (certainement de la lumière). Il était immense et silencieux. On était à environ 100m de la plage. Mon ami m'a regardé, surpris, et je lui ai dit "t'inquiètes pas, c'est un vaisseau spatial", on s'est vite levés et sortis sur le balcon mais le vaisseau avait subitement disparu. Je me souviens très bien que je trouvais ça normal, j'ai dit à mon ami, il va repasser... mon ami, surpris, a allumé son appareil à photo numérique et on a attendu. Le vaisseau n'est jamais repassé. Dommage...

J'ai essayé de retrouver une photo ressemblant sur le web de ce vaisseau qui était très près du rivage mais sans succès. Si une personne a pu voir la même chose, prière de me contacter (grepi@ovni.ch - nous transmettrons). Je suis curieuse de savoir s'il existe une autre forme de vaisseau que ceux pris en photo. Je suis maintenant certaine que d'autres êtres vivent parmi nous.
Karima (Genève - Suisse
Source GREPI

2004-2005 RABAT/SALE
Il y a trois ou quatre ans, avec un ami, nous avons été témoin de l’observation d’un OVNI. Il était 20 h30 / 21 h 00, une nuit d’été, nous venions de terminer un match de foot, nous étions fatigué. Tout d’un coup nous apercevons une boule lumineuse très haut dans le ciel, elle avait la forme d’une étoile et elle se déplaçait en faisant des Zig-Zag dans le ciel, ceci à une très grande vitesse. Elle se déplaçait de gauche à droite, après elle descend, elle remonte, s’arrête parfois. Nous étions étonnés, nous nous retournons pour appeler les amis, et derrière on voit alors une autre boule, très grande, de la taille de la lune, éloignée et qui tombe du ciel vers la mer.

Monsieur Yassine D. âgé de 22 ans, Etudiant nous communique quelques informations complémentaires. L’observation est ancienne, si ce cas l’a étonné, il n’a toutefois rien noté et il n’avait à cette époque aucune information sur qui s’occupait de ce phénomène au Maroc. C’est donc à la suite de la lecture de notre appel sur un forum Sur Internet qu’il nous contacte en Octobre 2008 afin de nous raconter cette observation.

L’observation a eu lieu à partir de Salé, à côté de Rabat ( Maroc) donc dans une localité habitée, mais sans autre témoin semble t’il. L’information ne passe pas, il faut aussi le signaler. La durée du phénomène est de l’ordre de 30 secondes environ. C’est donc assez rapide, similaire pratiquement à celle d’une étoile filante, mais qui n’avait absolument pas une trajectoire rectiligne. Au contraire, l’objet à monter dans l’espace, descendu, s’est déplacé sur la droite, est revenu, s’est déplacé sur la gauche, en zig-zag en quelque sorte, etc… . Un mouvement rapide vraiment anormal. La boule d’une grosseur apparente d’une étoile était visible au Sud, l’autre boule, que nous avons observé quelques secondes après la première, en nous retournant pour appeler les amis, était d’une grosseur similaire à la pleine lune, et se localisait dans la direction du Nord. Le témoin estime la hauteur angulaire de la boule qui se déplaçait en Zig Zag à 60°, tandis que la seconde, grosseur de la pleine lune, se situait à environ 30° de hauteur apparente. Il est à noter que la lune n’était pas visible ce soir là. La couleur est similaire à celle d’une étoile, soit Blanche/jaunâtre et elle n’a pas changée. Au niveau de la distance, difficile de l’estimer, mais en tout état de cause le premier était plus loin que la seconde. Aucun bruit lors de l’observation, mais par contre, dès que la seconde boule est tombée dans la mer, nous avons entendu un bruit, similaire à ce que fait la mer, mais très amplifié. Dans le ciel, aucun nuage, il faisait chaud, le ciel clair, c’était une belle soirée d’été.

Durant l’observation nous avons criée « whaaa » car nous avons vraiment été étonné par ce spectacle inhabituel. Nous étions donc deux témoins à observer ce phénomène, nos amis, discutant, n’ont pas fait attention à ce qui se passait dans l’espace.

Source : témoignage direct conservé dans les archives d’Ovni Maroc Marrakech.

01ER MARS 2004 : AL HOCEIMA
L'avion transportant le ministre de la Communication à destination d'Al Hoceima (Nord du Maroc) a été heurté par un objet (volant puisque dans les airs) non identifié, jeudi dernier. Le pare-brise du cockpit s'est brisé. L'appareil a dû atterrir en catastrophe à Fès où le ministre a pris un autre avion.
Source : l’Economiste.

Ce fait divers est mentionné ici uniquement pour son étrangeté, son rapport avec le dossier ovni. Toutefois, il arrive de temps à autre que des objets, tout a fait identifiables, heurtent et cassent un pare-brise du cockpit. Ici, l’ovni peut facilement être identifié, après une enquête. L’information ne nous en dit pas plus, rien d’autre n’a été publié et nous ne savons donc pas l’origine de ce fait, qui n’a certainement rien à voir avec un ovni !

JUIN 2004 – NADOR
Nador observation Sources Albert Rosales rosales
Birmingham UFO Group Report
Author: Dave Hodrien

Release Date: 13/05/2012

Introduction
Soufian vit dans une ville appelée Helden dans les Pays-Bas. Il s'est d'abord mis en contact avec BUFOG fin mars 2012. Il a éprouvé beaucoup de choses inhabituelles au cours des années, dont la plupart a commencé à son adolescence. Ces expériences ont inclus des visites par des êtres, des enlèvements, des capacités psychiques, des rêves vifs inhabituels et d'autres phénomènes étranges. Après l'étude l'ET le sujet de contact, Soufian a réalisé la mesure à lequel ses expériences adaptées avec cela. Il a décidé d'acheter et lire le Réveil - le livre excellent sur le contact par l'Australien ET contacter le spécialiste Mary Rodwell et constaté qu'il pourrait toucher beaucoup de ce qu'a été mentionné. Après initialement l'entrée en contact avec Mary, il a alors rencontré par hasard BUFOG en raison de ma propre enquête dans le sujet. Sur beaucoup de Courriers électroniques il a fourni quelques informations excellentes sur ses expériences, aussi bien que beaucoup de dessins qui sont dispersés partout dans ce rapport.

Le Maroc en Visite (vacances)

En juin 2004 quand Soufian avait 19 ans il est allé avec sa famille en vacances à leur maison dans Al Aâroui, Nador, le Maroc. La maison est assez grande pour Soufian pour avoir sa propre chambre à coucher. Ses deux sœurs ont partagé une deuxième chambre à coucher et dans le tiers(troisième) étaient ses parents et petit frère. L'incident est arrivé en deuxième semaine de leur séjour. C'était le temps particulièrement chaud, trop chaud pour se trouver sur le lit près du mur. Soufian avait posé (fixé) son matelas sur le plancher (l'étage) et prenait la nuit pour réfléchir près de l'embrasure ouverte de la pièce (chambre). Les fenêtres ont été aussi laissées (quittées) ouvertes pour refroidir en bas la pièce (chambre) autant que possible. Soufian et sa famille s'est endormi de 10.30-11.00pm.

À un certain point pendant la nuit Soufian a commencé à éprouver ce qu'il a posé (inscrit, dénigré) à l'époque à un cauchemar. Il se couchait sur le matelas de ses yeux ouverts. Il n'a pas été sûr quel le temps de nuit il était. La pièce (chambre) était tout à fait sombre, mais a été partiellement allumée (éclairée) par le clair de lune entrant par les volets (obturateurs) ouverts. Il a examiné l'embrasure de sa pièce (chambre) à la porte de sa chambre à coucher de parents. Il la position y avait dans l'embrasure de la porte un étrange étant, qui lui semblait bien. L'étant était autour de 1.5 mètres de haut. C'était humanoïde en forme. Il a semblé être dévêti. Son corps (organisme) a semblé être couvert dans une fourrure soyeuse colorée brun clair. Cette fourrure a prolongé (étendu) le droit en bas sur ses mains. Aucun doigt n'était visible. La créature avait les grands yeux colorés noirs arrondis que Soufian décrit comme "sans vie et sans une âme". Il avait de très petites narines et son nez n'a pas été très prononcé. Sa bouche était ouverte, exposant des dents colorées pâles-blanches pointues. Aucune oreille n'était visible du front. Étrangement bien qu'il ait une vue claire de la créature, Soufian ne se rappelle pas voir n'importe quels pieds.

Après qu'un moment l'étant a commencé à se déplacer vers Soufian. Il a semblé lancer une distance courte au-dessus du plancher (de l'étage). Ses bras (armes) et jambes accrochées en bas et ne se sont pas balancés dans les deux sens. Soufian a commencé à s'affoler comme l'étant rapproché à lui. Alors un par un, les fenêtres dans la pièce (chambre) ont commencé à claquer fermé extrêmement violemment. À ce moment Soufian a bondi du matelas et a passé en courant dans la salle de bains, fermant la porte derrière lui. Comme il a fait ainsi il a estimé que l'étant poursuivait après lui. Bien qu'il ait ressemblé à un mauvais rêve, il était maintenant certainement éveillé et très effrayé.

Soufian est resté dans la salle de bains pour jusqu'à 15 minutes (procès-verbal). Il a été choqué par ce qui était arrivé et très le renversement (bouleversement). Il n'a pas appelé aux autres dans la maison comme il n'a pas pensé qu'ils le croiraient ainsi il n'y avait aucune raison. Après ce temps il a prudemment fait sa voie en arrière de la chambre à coucher. L'étant ne devait ne nulle part être vu, mais Soufian pourrait voir que les volets (obturateurs) ont été presque fermés, tandis que quand il s'était endormi ils étaient certainement ouverts. Il pose (fixe) sur le matelas de nouveau mais était toujours effrayé et ne pouvait pas dormir longtemps. À la fin il a finalement baissé.

Le matin sans dire quoi que ce soit à elle, la mère de Soufian a déclaré qu'elle l'avait entendu des cris pendant la nuit. Elle a supposé que ceci était un mauvais rêve qui est pourquoi elle ne s'est pas levée et passe à sa pièce (chambre). Soufian ne lui a pas dit que de ce qui était arrivé. Après quelque temps il posé (inscrit, dénigré) cela à un rêve, malgré la voie dont les volets(obturateurs) ont été maintenant presque fermés. Cependant regardant maintenant derrière soi à l'expérience il croit que ceci était un ET la visite.

Ceci est certainement une expérience intéressante. Soufian pourrait-il avoir vraiment été visité par un ET pendant cette nuit ? Les certaines caractéristiques se faisant avoir qui vont dans avec une de l'espèce le plus généralement rapportée, les Gris; le corps (l'organisme) mince, les grands yeux colorés noirs, petit nez et hauteur courte. Cependant il y a d'autres caractéristiques qui sont très inhabituelles et ne vont pas avec cela étant un Gris. Le fait qu'il a été couvert dans une fourrure soyeuse est très inhabituel. Bien que les êtres couverts de fourrure aient été décrits avant qu'ils ne soient tout à fait rares. Les dents pointues aiguisées sont de nouveau rares et donnent très animalistic la présence à la créature. Il a semblé flotter vers lui plutôt que la promenade. Ceci combiné avec les fenêtres claquantes suggère que l'étant possédé des pouvoirs télékinétiques, qui signifient à son tour cela n'aillent pas probablement avoir été un animal sauvage d'une certaine sorte.
Source: Nador observation Sources Albert Rosales Rosales - Traduction J.M. - Maroc - communiqué par Birmingham UFO Group Report

Author: Dave Hodrien
Release Date: 13/05/2012

17 JUIN 2004 - GOULMINE
Le mardi 17 juin 2004, j'étais chez mon oncle à Goulmime (Sahara du Maroc), alors j'ai décidé de faire un petit tour dans le désert avec mon oncle, quand tout à coup on a observé un objet volant très bizarre qui volait avec une très grande vitesse. Quand on a vu cet objet, il était un peu près de nous... alors mon oncle est resté sans bouger car il n'avait jamais vu une chose pareille... mais dans un clin d'oeil cet objet a volé avec une vitesse incroyable...

Information: deux policiers de la route ont raconté la même histoire...

Merci.

Ismail (Casablanca - Maroc
Source GREPI

AOUT 2005 – PLAGE DE SAIDIA
Je viens de m’inscrire sur ce site car je crois avoir un ovni. C’était durant mes vacances au Maroc sur une plage. La plage s’appelle Saidia, en aout 2005, elle se trouve sur la méditerranée. C’était un soir, j’étais avec mon copain sur la plage, seule avec lui. Il faisait noir et j’ai vu dans le ciel un appareil en forme de triangle avec trois luières à chaque angle. L’appareil volait très, rès lentement, ce qui m’a marqué. Puis il a pris de la vitesse et ensuite il s’est arr^té pour ensuite tomber dans la mer. Je vous jure, c’était incroyable, mon copain m’a persuadé que ce n’était qu’un avion de l’armée, mais impossible à cause de la vitesse, de la forme, des lumières…. J’ai vu l’émission « ovni quand l’armée enquête » . Je n’ai entendu aucun bruit. Le plus étrange est que le lendemain, nous sommes revenus au même endroit et à l’horizon, il y avait plein de bateaux, juste à cet endroit précis. Bizarre non ?
Source : Témoignage de Samy – Forum Le Mystère des Ovnis

10 AOUT 2005 - METEORITE OU « OVNI ECRASE AU SOL » - REGION D’ERFOUD.
Par :
ikko - Mehdi MSADDEQ Envoyé Spécial

De notre envoyé spécial : Une histoire d’OVNI ?! Ou de Météorite ?!
Vendredi à 6h49 du matin, je reçois un appel d’un vieil ami, il m’appelle pour me faire part d’une nouvelle assez troublante... d’après lui une Météorite se serait écrasée au sud de « Arfoud» à 4h06, c’est-à-dire à peu près 2h et demi au par avant. J’essaie d’en savoir plus, mais pas moyen, je décide alors, après bon nombre de coups de fil, d’aller sur place pour voir ce qui se passe.

Un vol à destination de Marrakech pour ne pas trop perdre de temps à 18h, arrivé là-bas, un ami m’attend pour me conduire à Arfoud. Presque arrivé, on remarque déjà quelques véhicules militaires, rien d’assez extraordinaire, cette zone c’est est près du Sahara, et la présence de militaire est tout à fait normale.

00h32 je mets pied à Arfoud, un silence de cimetière règne dans la ville, pas l’ombre d’une personne, sauf une, S. Mohammed, le guide et chauffeur du 4x4 qui me sera indispensable pour aller à la zone dite. J’essaye de le convaincre d’y aller à cette heure tardive de la nuit, mais sans façon, le départ se fera au petit matin.

4h00 la lumière du jour se fait déjà visible, et moi tout excité par ce que je vais voir, ne trouve pas le sommeil de toute la nuit. Le 4x4 chargé, plein d’essence, de l’eau, quelques provisions, et une trousse de premiers secours. On avance pendant 1h30 sur une piste, ensuite plus rien, que des dunes, plus de paysage, tout se ressemble. A partir de cet instant, la chaleur commence à se faire sentir de plus en plus, et l’eau coule à flot pour essayer de m’apaiser. On roule depuis 5h déjà et je commence à m’inquiéter : se serait-il trompé de chemin ? Serions nous perdu ? J’hésitai longuement avant de poser cette question à Mohammed, mais au moment ou j’allais le faire, j’aperçus quelques bâtiments, pas tout à fait des bâtiments, mais des habitations. Enfin, on arrive à notre Check Point, « Itoug Zegra » un village de nulle part, complètement perdu, coupé du monde, à le voir, je m’étais projeté 50 ans en arrière, je ne pouvais pas imaginer qu’un tel village puisse exister encore ?!! C’était invraisemblablement bel et bien réel.

On rentre dans une des habitations, invités par un citadin qui apparemment s’attendait à notre visite, Mohammed me fait comprendre que les gens du village parlent Hassani, un dialecte saharien, cela ressemblait beaucoup au Berbère. Il faisait 46° à l’ombre, un peu moins à l’intérieur des habitations, vu leurs constructions, c’était assez frais. Je presse mon guide pour qu’on reprenne route, je sentais la tension monter de plus en plus qu’on s’approchait dudit endroit.

 Soudain... je fus surpris de voir une clôture flambante neuve barrer la route ?!!! Où étions-nous ?!! Nous serions-nous trompé de route ?!! Je demande à Mohammed de longer la clôture, en espérant trouver un portail. Et là je vis des militaires, non Marocains, c’était clair, je les reconnais sous leurs tuniques beiges et leurs équipements, c’était des GI’s. Mais que faisaient-il dans ce coin perdu de la terre ??!!
Arrivés devant une barrière d’accès, un militaire, un Marocain cette fois-ci, s’approche de la vitre, je me présente à lui, et lui dis la raison de ma présence, il me fixe, et me dit : « Petit, tu n’as rien à faire ici » prend mon guide et lui parle en un langage que je ne déchiffre pas. Mohammed remonte aussitôt dans la voiture et rebrousse chemin, je l’arrête : « il est hors de question de revenir sans en savoir plus » lui dis-je. Il me dit que si je voulais rester, qu’il ne m’empêchera pas, mais que je devais le faire sans compter sur lui, il était quasiment impossible pour moi de survivre dans des conditions aussi extrêmes, seul, sans personne qui s’y connaît avec moi. Je lui demandai de m’attendre une demi-heure de plus. Mon appareil photo avec la chaleur qu’il faisait, ne fonctionnait plus. De plus, dès que je le pris, le militaire me dit d’une voix assez persuasive qu’il est interdit de prendre des photos. Je le savais déjà, mais j’aurais essayé quand même. Je sortis mon portable pour essayer d’appeler une personne qui pouvait me renseigner sur la situation dans ce secteur... Surprise ! La barre du réseau est bien là, mais impossible d’effectuer des appels.

Quelques minutes passées, deux 4x4 de touristes se font voir, des Anglais, j’en profite pour leur parler un peu, ils avaient passé la nuit dans le secteur, je leur ai demandé s’ils n’avaient pas vu ou entendu quelque chose la soirée du vendredi. Ils étaient plus loin selon eux, donc rien vu, ni entendu quoi que ce soit. J’étais déçu d’avoir fait tout ce chemin pour ne rien voir, rien entendre, et surtout ne rien savoir. Mais une voix au fond de moi me disait que quelque chose était là. Mes questions étaient toutes ignorées par les gardes militaires. Je me disais que si des GI’s étaient là, ce n’était sûrement pas pour une aide humanitaire, il y avait bel et bien quelque chose. Mais la question était « Quoi » ??!!

Je me pris en photo avec les touristes, et leur demanda de bien vouloir m’envoyer mes photos par mail à la première occasion. Je ne pouvais pas rester plus longtemps sur le site, je repris aussitôt la route du retour. Mais à ma surprise, à quelques kilomètres, mon tel sonne, un ami qui voulait avoir de mes nouvelles, et qui me demanda la raison pour laquelle j’avais éteint mon GSM. Il n’était pas éteint mon GSM... je fus troublé par cette découverte !!! Une chose est sure, il y avait bien quelque chose, mais quoi ?! Personne ne sait !!! Y a-t-il vraiment quelque chose ? Une météorite ou peut être un OVNI ? Qui sait ? Où c’est juste le soleil et la chaleur torride qui m’ont joué des tours... affaire à suivre.

Le black out a bien été gardé sur ce dossier. On n’entendra jamais parlé de cet objet qui s’est écrasé au sol et qui a mobilisé en quelques heures, autant de moyen. Ovni, comme dans l’affaire de Roswell, mais ici nous sommes en terrain propice au secret. Rien ne sortira. Pour les américains, nous n’avons rien vu, quant aux Marocains, nous ne sommes pas concerné. Une bien étrange affaire ou les américains, qui ont maîtrisé le problème, sont aux abonnés absents.

29 JANVIER 2006 – TETOUAN
Je vis au Maroc, plus précisément à Tétouan. Le dimanche dernier (témoignage reçu le mardi 31 janvier 2006 - GREPI), j'ai vu un truc vraiment bizarre, un machin volant, ovale, derrière lui de la poudre fluorescente. Depuis je ne fais que des cauchemars, j'ai consulté un psy. Svp aidez moi, merci.
Anonyme (Maroc)

L’OVNI DU 15 AVRIL 2006
Débris d’un satellite Russe. Observé dans plusieurs villes du Maroc.
6 Mai 2006 - Par CRUCRAS

Les boules de feu (fireball) observées dans le ciel de plusieurs villes.
De dangereux déchets qui tombent du ciel

Le samedi 15 avril 2006 vers 20h50, une boule de feu (fireball) a été observée dans le ciel de plusieurs villes et localités du Maroc, empruntant une trajectoire du Sud vers le Nord. Le spectacle a attiré l’attention d’un grand nombre de personnes.

Devant l’importance de ce phénomène et pour avoir une information complète quand à une éventuelle chute de météorite sur le territoire marocain, le département de géologie, Faculté des sciences, Université Hassan II Aïn Chok a lancé un appel à témoignage pour savoir si quelqu’un aurait pu filmer ou photographier cette boule de feu (cf. nos éditions du 21 et 24 avril).

Par la suite, le quotidien Ahdhat al Maghribia, dans son édition du 1er mai, a publié un article faisant état de l’observation d’une vingtaine de boules de feu, samedi dernier, dans le ciel de Ghafsaï (province de Taounat) ainsi qu’à Fès. Selon cet article, ces corps lumineux évoluaient à basse altitude et ont provoqué la panique parmi la population de ces régions qui s’est interrogée sur leur nature. Parmi les explications avancées, on a parlé aussi bien de météorites que de feux d’artifice, de phénomènes extranaturels et d’objets volants non identifiés (OVNI) pilotés par des extraterrestres venus en exploration de la Terre.

Interrogée sur le résultat de l’appel à témoin qu’elle a lancé et les informations rapportées par Ahdhat al Maghribia, le Pr Hasnaa Chennaoui Aoudjehane, responsable du département de géologie de la Faculté des sciences de Aïn Chok, spécialiste dans les météorites, a précisé qu’il s’agit du même phénomène observé dans la nuit du samedi 15 avril. L’horaire et les objets décrits ainsi que leur trajectoire sont bien concordants. Seule la date n’a pas été précisée par le quotidien qui a publié l’article avec deux semaines de retard.

Quant à la nature des corps lumineux, en l’absence au Maroc d’un observatoire spécialisé qui mettrait à disposition des chercheurs l’information nécessaire, la réponse à cette question a été trouvée auprès du réseau espagnol SPMN qui étudie la matière interplanétaire et qui regroupe des chercheurs de plusieurs universités et centres de recherches de ce pays. On la retrouve aussi auprès de l’Aerospace Center for Orbital and Reentry Debris Studies (ACORDS), centre américain dédié aux études relatives aux débris spatiaux en orbite autour de la terre.

D’après les informations fournies par ces entités, les corps lumineux observés le 15 avril, aussi bien dans le ciel marocain que du côté de l’Andalousie en Espagne, n’étaient ni des OVNI ni des météorites mais les débris d’un satellite qui s’est désagrégée en rentrant dans l’atmosphère terrestre. Il s’agit d’un satellite russe, Sich-1 qui avait été lancé, le 24 décembre 2004, à partir du Cosmodrome de Plesetsk, situé à environ 800 kilomètres au Nord de Moscou. Son entrée dans l’atmosphère était prévue à 20h43 UTC (temps atomique international), avec une marge d’erreur de 45 minutes, et sa trajectoire ainsi que son point de chute étaient également plus ou moins définis. Seulement, les chercheurs marocains n’étaient pas au courant.

Mais que vient faire au Maroc un satellite russe et quels risques représentait sa chute ? La question mérite d’être posée. De nos jours, les satellites artificiels modifient la vie sur la Terre et l’y organisent : satellites de communication pour les échanges de sons et d’images, satellites météorologiques pour la prévision de temps, satellites de navigation pour le guidage précis de navires sur toutes les mers du globe, satellites scientifiques à missions hautement spécialisées, satellites militaires aux applications publiques ou secrètes multiples, etc. Il s’agit autant de satellites placés sur l’une ou l’autre orbite terrestre que de sondes qui ont quitté l’environnement immédiat de la Terre pour explorer la Lune ou les autres planètes. Lors de chacune de ces missions, un grand nombre de débris spatiaux sont générés. Et comme toute activité humaine, la conquête spatiale s’accompagne de la production de déchets.

Un débris spatial, dans le domaine de l’astronautique, est l’objet résiduaire d’une mission spatiale se trouvant sur orbite. Environ 9.000 objets supérieurs à 10 cm sont dénombrés aujourd’hui autour de la Terre, environ 200.000 entre 1 et 10 cm et plus de 35 millions d’une taille inférieure au cm... On y trouve les satellites en fin de vie, des étages de lanceurs, des objets issus de collisions... Depuis Spoutnik 1, lancé le 4 octobre 1957, plus de 4.000 lancements ont mis en orbite un grand nombre de satellites. Plus de 170 fragmentations se sont également produites, donnant naissance à une multitude de débris de toutes tailles.

En raison des vitesses élevées en orbite, mêmes les plus petits débris peuvent provoquer des dégâts très importants sur les satellites ou les véhicules habités. Ces débris présentent un danger pour les missions spatiales habitées, les satellites en orbite et un risque de retombée au sol. Ils vont à une grande vitesse et l’impact d’un débris, même petit, peut entraîner de gros dégâts. 


 La capacité de prédire avec précision l’instant de rentrée d’un satellite dans l’atmosphère terrestre augmente à mesure que l’objet se rapproche de l’atmosphère. A 7 jours d’avance par exemple, la précision est d’environ 22 orbites, à 12 heures de 1.6 orbites et à 1h de 0.33 orbites. La zone de débris théorique s’étendit sur une ovale large de 200 km et longue de 6000 km, entre d’un côté les débris les plus légers et de l’autre les débris les plus lourds.

En principe, le point d’impact des débris peut être estimé à 100 km près. Mais en 1991 des débris de Salyout 7 tombèrent à quelques centaines de kilomètres de Buenos Aires, heureusement sans faire de victime. En 1997, deux fragments d’une fusée Delta 2 pesant 250 kg atterrirent avec fracas au Texas. Un troisième débris pesant 70 kg en titane fut retrouvé en 2001 à 240 km de Riyad en Arabie Saoudite.

En 2001, 30% de la masse de la station Mir, représentant une charge résiduelle de 20 tonnes répartie dans 1500 éléments dont six gros débris furent "forcés" de tomber heureusement sous "pilote automatique".

Pour toute responsabilité dans l’éventualité où Mir serait tombée sur des populations, l’agence spatiale russe (RSA) avait souscrit une assurance de 200 millions de dollars auprès de la Lloyd’s à Londres. Une bien maigre consolation si dix millions d’habitants étaient passés de vie à trépas dans l’accident ou s’en seraient sortis handicapés à vie... A cela, les autorités ont répondu qu’ils étaient confiants et que Mir allait s’écraser dans l’océan. Et à l’image de la précision de la mécanique céleste, ils ne se sont pas trompés dans leurs calculs pourtant soumis aux aléas des conditions atmosphériques et de l’activité solaire. Car il faut saluer le mérite des ingénieurs qui estimèrent dans ce dernier cas l’heure de rentrée à 5 minutes près et le point d’impact avec une précision de 125 km ! Mais même si la chute d’un satellite peut être incontrôlable avec plus ou moins de précisions, malheureusement, en l’espace de 24 heures ou même trois jours, il est impossible d’évacuer une mégapole de plusieurs millions d’habitants et toute une zone d’impact potentielle qui s’étend sur plusieurs centaines de kilomètres alentour.

Il arrive donc que de temps en temps des satellites tombent au sol. Leur chute comporte plusieurs risques graves. Et comme certains d’entre eux fonctionnent au combustible nucléaire, on ne peut pas exclure de même une irradiation. Si un tel événement se produit, l’épave radioactive doit être rapidement localisée, traitée et les mesures de protection des populations déclanchées en cas d’augmentation de la radioactivité.

Mais que faire pour éviter ces apocalypses non programmées ? Pour lutter efficacement contre le risque potentiel engendré par les déchets en orbite, les grandes agences ont pris le problème à bras le corps depuis 1993 et ont créé l’Inter-Agency Space Debris Coordination Committee (IADC), une agence chargée de prendre des mesures concrètes en cas de besoin. L’alarme a été prise très au sérieux car la navette Challenger, par exemple, a reçu de nombreux impacts dans ses hublots tandis que la navette Atlantis fut déjà égratignée par ces débris, entaillant le revêtement de son bord d’aile sur 2.5 cm. Quand on sait que le bord d’attaque des ailes subit l’une des chaleurs les plus élevées lors de la rentrée atmosphérique, (le cas lors de l’accident de Columbia), il est judicieux de tirer la sonnette d’alarme.

Que coûte la "dépollution" des orbites ? Une première estimation faite en 1996 indique que le nettoyage des orbites jusqu’à 800 km d’altitude de tous les débris mesurant entre 1 et 10 cm coûterait environ 80 millions de dollars et nécessiterait 2 ans de travail. Un nettoyage jusqu’à 1500 km d’altitude prendrait 3 ans et coûterait environ 160 millions de dollars (soit un peu moins de la moitié du prix d’une nouvelle navette spatiale).

Si les états acceptent d’y consacrer un peu d’argent plutôt que de prendre des risques bientôt inconsidérés, il est probable que d’ici quelques années les experts des Services du Département Environnement du Centre Goddard de la NASA devront envoyer un ferrailleur "dépolluer" l’espace qui, faut-il le rappeler, est une ressource pour toute l’humanité.

SAMEDI 15 AVRIL 2006 – COMETE OU OVNI ?
DIVERSES REACTIONS SUR LES FORUMS À PROPOS D’UNE RENTREE DE SATELLITE

Le samedi 15 avril 2006 à 21h 15mn GMT, on a pu voir dans le ciel d’Errachidia ( sud Maroc), l’un des plus spectaculaire et des plus brillants objets volants. Le spectacle à été vu par plusieurs personnes. Moi et mes amis, on a eus la chance de voir ce phénomène extraordinaire. La nuit était sans nuage et la lune se trouvait derrière nous. L’objet se déplaçait horizontalement à basse altitude, avec une vitesse constante et prend sa direction ver le Nord-Est. L’identification précise de ce phénomène reste difficile ; astroïde, Comète ou OVNI ? D’apparence, l’objet ressemble à une comète ; avec une tête comme une boule de feu qui change de couleur. Elle est alternativement blanche, rouge, verte ou bleu. Et une queue qui la suit. Mais, à la différence des comètes, la queue de celle-ci n’est pas constitué de poussières, mais un "fleuve" de multiples petits corps qui ressemblent plus au moins à des étoiles qui brilles dans le ciel nocturne.

16/04/2006 - Errachidia, Maroc - Mohammed Zarouit

Difficile à dire, le mieux est d'essayer de se renseigner à des organismes qui ont pu observer le ciel, peut être un observatoire astronomique ou alors une revue scientifique. Il peut y avoir plusieurs explications, plus ou moins sérieuses, essai de véhicules volants, débris brûlant dans l'atmosphère... en attendant leur réponse, vous pouvez également surveiller les calendriers astronomiques qui indiquent les événements prévus à telle ou telle date. Ceci dit, petite précision, un OVNI est par définition non identifié

17 avril 2006 - P.

Pallas4 à 16:58 (CEST)

En particulier on a l'
IMCCE en France qui se charge de faire l'information du public (un courrier électronique en français devrait faire l'affaire). Après avoir consulter leur site ou d'autres d'ailleurs : car il y a pas mal de site d'astronomes amateurs qui détaillent les phénomènes observables. Mais les autres en général tiennent juste un site à jour sans répondre au grand public.

18 avril 2006 -
David • à 17:11 (CEST)

Bonjour,

Parmi les phénomènes dus à l'activité humaine, les plus spectaculaires sont le passage de certains satellites artificiels très brillants (notamment ceux de la constellation Iridium et l'ISS), et les rentrées atmosphériques.

Concernant les flashes Iridium, ceux-ci sont extrêmement localisés, car ils sont dus a un déflecteur métallique installé sur le satellite dont le reflet balaie une zone extrêmement petite (vingt kilomètres de diamètre). Aussi, à moins de connaître très précisément le lieu d'observation ( à une précision de quelques kilomètres), il est difficile de prédire avec précision la magnitude d'un tel événement. Au mieux, il peut dépasser la magnitude de -9, soit l'équivalent d'un premier quartier de Lune (mais pendant une période assez brève). Si vous jetez un oeil ici,
[2], vous verrez qu'un flash a eu lieu samedi 15 vers 19h30 GMT. Le flash était modeste (magnitude -2, soit en gros la luminosité de Jupiter) aux coordonnées qui doivent correspondre au centre-ville de Er Rachidia (31.9320°N, 4.4240°W), mais qu'à une vingtaine de kilomètres à l'est il a atteint -7 (soit vingt fois la brillance de Venus). Ni l'heure ni le descriptif (l'objet est ponctuel) ne correspondent à ce que vous décrivez.

Il est d'autre part quasi-impossible que ce que vous ayez vu soit une comète, car celles-ci ont un déplacement très faible sur la voûte céleste, et qu'aucune comète brillante n'a de toute façon été signalée en ce moment. Il est par contre beaucoup plus vraisemblable que vous ayez vu un phénomène de rentrée atmosphérique, soit par un météorite, soit plus vraisemblablement un engin terrestre. Dans un tel cas, l'objet a toutes les chances de s'être fragmenté lors de la rentrée atmosphérique (d'où les points brillants derrière l'ojet principal), et ce que vous auriez vu seraient les différents débris incandescents, en général avec des trajectoires identiques (même direction, même vitesse). La présence d'une sorte de queue dans le sillage du ou des objets corrobore l'hypothèse d'une rentrée atmosphérique, les changements de couleurs pouvant d'expliquer par les rayonnement des différents matériaux composant les débris, ou simplement les effets de l'absorption atmosphérique si l'objets a été observé bas sur l'horizon. Le temps de transit de ce genre d'objet est, d'expérience, moyennement rapide, entre quelques secondes et deux minutes, selon l'altitude et la distance des débris.

Un tel phénomène est peu fréquent, mais n'est pas rare. J'en ai été témoin deux fois, en quelques milliers d'heures d'observation. Il n'en demeure pas moins très spectaculaire, et les gens pensent en général immédiatement à une visite de petits hommes verts avant de penser à une rentrée atmosphérique d'objets construit ar l'homme. L'hypothèse de l'OVNI ne peut bien sûr pas logiquement être exclue, mais si tel est le cas, l'infortuné extra-terrestre s'est probablement écrasé... Bref, il est bien plus probable que ce soit un débris de fusée ou de satellite dont vous ayiez observé les derniers et flamboyants instants.

18 avril 2006 -
Alain Riazuelo à 10:51 (CEST)

Des extraterrestres ne disposant pas de vaisseaux spatiaux suffisamment sophistiqués pour être invisibles (ou n'utilisant pas la
téléportation), s'ils voulaient être discrets, entreraient à la manière de ces rentrées atmosphériques, peut-être même en les accompagnant. ;-) —

18 avril 2006 -
David • à 21:19 (CEST)

Mais une comète est extra-terrestre !

19 avril 2006 -
ArséniureDeGallium à 09:39 (CEST)

En plus ! Donc de toutes les façons c'était OVNI. (Bon, populairement on pense au nom commun plus qu'à l'adjectif. Je voulais dire qu'il n'était pas nécessaire d'avoir des habitants d'une autre planète pour parler d'OVNI).

19 avril 2006 -
David • à 18:59 (CEST)

Bonjour, J'étais moi même au sud du Maroc, dans l'Erg de Cherbi et nous avons été sept à observer cette même suite d'objets volants. Si vous trouvez, pouvez-vous poster sur cette page une explication de ce phénomène ?
Bonjour et merci à tous ceux qui ont essayé de répondre à cette question.

Le
jour même où j'ai posé ma question sur la page de l'Oracle, j’ai adressé un message au journal


21 avril 2006 -

Boism à 23:53 (CEST)

OVNI ne signifie de toute façon pas "extra-terrestre" mais simplement "non identifié". Donc, même si cela avait été une comète, c'était néanmoins, pour lui, un OVNI...

JUIN 2006 – ANTI-ATLAS - MAROC
Voici ce que j'ai observé il y a quelques jours (témoignage reçu le 28 juin 2006 - GREPI) lorsque j'étais en vacances au Maroc.

Au départ, j'ai cru que c'était une poussière sur l'objectif mais en fait non, car j'ai fait un autre cliché quelques secondes plus tard et plus rien. Je ne sais pas ce que j'ai vu, mais ça a disparu très vite.

Vous dites "ce que j'ai observé", avez-vous observé "l'objet" en direct, ou ne l'avez-vous découvert qu'au développement des photos? - GREPI

Non je me suis très mal exprimé, en fait je ne l'ai vu que sur la photo. Cependant cette photo prise dans l'Anti-Atlas n'est pas trop un lieu fréquenté par les engins volants; plutôt désertique.

Cependant, je voulais aussi vous relater des faits que j'ai vécus dans mon adolescence et pour lesquels je préfère rester anonyme, me croira qui voudra après tout.

Cela se passait durant la nuit dans mon sommeil; c'est pourquoi il m'est très difficile de croire si ce que j'ai vécu est réel ou rêve.

En fait, suite à beaucoup d'énervement, nuit plutôt agitée, style insomnie; je ressentais une présence et à plusieurs reprises je ne bougeais plus jusqu'à m'endormir pour échapper à cette peur.

Puis un jour j'ai eu le courage de me retourner et d'ouvrir les yeux, et j'ai aperçu très clairement dans l'obscurité quelque chose qui ressemblait à un cosmonaute, sauf que c'était bleu azur et fluorescent. Cela n'a pas duré car, pris de panique, je me suis retourné et caché au fond de mon lit.

Plus tard, la même expérience, mais cette fois-ci l'être n'arrivait plus de la même manière, mais comme en me paralysant (sorte de fourmis dans tout le corps); et en ouvrant les yeux j'ai vu tout son bras posé sur moi et avant que je ne réagisse il s'élevait dans l'obscurité et disparaissait en me faisant un signe, peut être amical, de la main.

 Plus tard encore, j'ai ressenti une dernière fois cette présence, mais qui m'empêchait cette fois de bouger et me demandait à plusieurs reprises et à voix basse de l'écouter; en résistant, je suis parvenu à me retourner; mais seulement, cette fois-ci, plus rien, et depuis je n'ai plus jamais vécu cette expérience.



Ceci s'est produit environ 5 fois entre 8 et 15 ans; j'approche de la quarantaine maintenant. Mon seul regret: n'avoir pas écouté. Je sais que cela ressemble à une histoire de fou; je l'ai gardée pour moi jusqu'à présent. Il se peut tout à fait que ce soit des cauchemars car on ne sait pas toujours où se trouve la frontière entre le sommeil et l'éveil; cependant, je dois avouer que je n'ai jamais eu l'impression que cette présence m'ait réellement quitté. Si d'autres personnes ont vécu cette expérience?
Philippe (France) – Source Grepi – Genève.

Eté 2006 – MARRAKECH -
Brahim à 22 ans, célibataire, il se consacre à des études d'ingénieurs, la tête sur les épaules, moderne, sérieux, le questionnaire précis qu'il nous a retourné mentionne son adresse, son mail, son numéro de téléphone, élément que nous ne communiquons pas par discrétion.

L'observation a eu lieu au cours de l'été 2006, en août, en soirée, dans une zone habitée (ville) et vers 22 H 00.

Voici la description que Brahim fait de son observation :

"J'habite à Marrakech c’est la ville du soleil. C'était durant l'été 2006 et il faisait très chaud. On dort la plupart du temps sur le toit ( je veux dire le 2 éme étage qui n'est pas couvert - La terrasse). La plupart des familles font ainsi à Marrakech, c'est relaxant. Habituellement avant de fermer les yeux pour dormir, je prends du temps pour admirer les étoiles, chercher des satellites, des avions et les suivre pour m'amuser. Une nuit (je ne me rappelle pas exactement la date), en faisant ce rituel d'observation du ciel, j ai remarqué une tache lumineuse un peu comme un disque lumineux qui bougeait comme un avion. C'est pourquoi j'ai tout d'abord pensé qu'il s'agissait d'un avion, mais après environ 8 secondes, la tache commence à accélérer d'une façon extraordinaire jusqu'à ce qu'elle disparaisse. (Personnellement je n'ai jamais vu une aussi impressionnante accélération). Je suis myope, je portais alors des lunettes, j ai vérifié mes lunettes afin de voir si des tâches étaient sur les verres, mais elles sont propres. Je me dis alors qu'il s'agit juste d'un comète, mais ce n' est pas logique compte tenu que l'objet avait une vitesse voisine de celle d'un avion et que sa vitesse à augmenté d'une façon phénoménale. C'était comme si l'objet était contrôlé par une personne. J’ai ensuite essayer de donner une autre explication (vu que je suis très curieux) en me disant qu'il s'agissait d'un avion militaire. Or aucun avion ou engin fabriqué par l'homme ne peux faire ces déplacements. Cette observation est restée un mystère pour moi. Je l'ai oublié, jusqu'à ce que je découvre des vidéo sur le site YOUTUBE. L'une d'elle ressemble vraiment à ce phénomène. C'est depuis ce jour que je m'intéresse aux ovnis, domaine très intéressant, même si il y a des personnes qui rient dès qu'on commence à évoquer ce phénomène.

Après cette observation, je suis toujours monté sur la terrasse équipé d'une appareil photo, espérant que ce phénomène se reproduise Mais dommage aucune apparition par la suite, excepté des avions et des étoiles filantes".

L'observation a durée environ 10 secondes, l'objet avait une forme précise de "disque" lumineux, couleur de la lumière courante, qui ne variait pas et d'une grosseur approximative à un avion passant au dessus de l'habitation du témoin. Le mouvement était donc rectiligne, à une vitesse similaire a celle d'un avion, durant 8 secondes, mais qui brusquement devient "vertigineuse" jusqu'à sa disparition. Aucun bruit n'a été entendu. Au niveau des conditions météorologiques, il faisait chaud, pas de nuage et le témoin ne se rappelle pas si la lune était visible.

(Notre photo : extraite de la vidéo représentant un phénomène similaire à ce qu'a vu le témoin.)

Voici à quoi ressemble le phénomène que le témoin à observé :
http://www.youtube.com/watch?v=JZwc_0Gur8U

(C’était presque le même type d'accélération, sauf que celui ci a changé de direction)

SEPTEMBRE 2006 - AL HOCEIMA
 (Village de Rouadi près d’Adouz)
Ali L. habite à Avignon, en France, mais d’origine Marocaine, il passe chaque année ses vacances dans son pays d’origine ou il rencontre par la même occasion sa famille. Ali est Marié, il a 37 ans, il travaille en tant qu’ouvrier spécialisé dans le bâtiment ou il est considéré comme quelqu’un de sérieux. Moderne, il est très ouvert aux technologies modernes et utilise Internet.

Au mois de Septembre 2006, il était justement en vacances au Maroc, dans la région d’Al Hoceima et plus précisément dans le village de Rouadi (Adouz). C’est une région tranquille, la campagne, la mer et la montagne font partie du paysage. Les maisons sont isolées les unes des autres. Il fait encore chaud en septembre et Al Hoceima, la ville des vacances, sur la côte méditerranéenne n’est pas très éloignée.

Difficile de se rappeler le jour exact, il y à déjà près de deux ans que cela s’est passé, mais Ali situe son observation en Septembre 2006, vers 22 -23 heures. Il s’agit d’un phénomène, présentant deux objets se déplaçant ensemble dans le ciel, aussi lumineux que le soleil et de la même couleur. Les deux objets ne variaient pas de couleur, mais par contre leur luminosité était telle qu’elle éclairait la montagne située en dessous. La grosseur de chaque objet était celle d’un gros avion, qui est alors relativement proche. Ils provenaient du Sud et se dirigeaient vers le Nord, vers la mer.


Croquit des lieux fait par le témoin

J’ai remarqué ce phénomène aérien alors que j’étais devant ma maison en train de regarder la mer. Je vois alors deux engins lumineux qui s’avancent ensemble, à la même allure, en parallèle, éclairant le paysage comme en plein jour. Ils ont disparu en se dirigeants vers la mer en direction de l’Espagne. Je n’ai entendu aucun bruit et je les ai perdu de vue au dessus de la mer, dans le lointain. Le phénomène a duré environ 2 à 3 minutes. Je les situais à une dizaine de kilomètres, mais je ne pouvais pas distinguer une forme précise, sinon que cela semblait similaire à un gros avion, de forme allongée et très brillant. Ils n’ont pas varié dans leur aspect. Je connais la région, ces montagnes et cela me permet d’estimer leur hauteur à une centaine de mètre du sol. Ils étaient beaucoup plus bas que les avions, en tout état de cause.

Comme c’est bien souvent le cas dans le Nord Maroc, au bord de la méditerranée, et plus particulièrement dans la région d’Al Hoceima, le ciel était dégagé, vraiment sans aucun nuage et la journée fut ensoleillée. Je ne me souviens pas de la présence de la Lune. J’ai regardé ces deux objets uniquement à l’œil nu, c’est leur altitude et le fait qu’ils brillaient beaucoup qui a attiré mon attention. Je les ai suivi durant tout leur parcours et je n’ai jamais vu de tels engins dans la région ou dans tout autre endroit.

Mon cousin Hamed L. a observé avec moi le phénomène. Beaucoup de personnes dans le village, attirées par ces lumières vraiment inhabituelles et anormales, ont observées elles aussi ces deux objets qui se déplaçaient relativement vite. J’ai personnellement moi-même pensé à un missile, mais cela ne correspond pas en réfléchissant à un tel engin.

Communiqué par Odyssée – Avignon – Forum Les Mystères des ovnis - Document du témoins dans les archives d’Ovni Maroc Marrakech.

27 SEPTEMBRE 2006 - FES
 J’étais debout sur le toit de mon appartement, c’était une journée claire et ensoleillée. J’ai observé un objet blanc dans l’espace, j’ai tout d’abord pensé que c'était un oiseau, puis j’ai acqui la certitude que c’en n’était pas un, à cause de ses mouvements étranges, apparaissant comme un sac d'épicerie en plastique flottant sur tout le ciel.

Then noticed another similar object possibly the same one, hard to tell because of sun glare slowly floated down towards me and then floated back up to sky while I watched until it was out of sight.

Puis j’ai remarqué un autre objet similaire, éventuellement le même, difficile à dire parce qu’il y avait les reflets du soleil. Celui-ci flottait lentement venant en ma direction, ensuite il a remonté vers le ciel, et j’ai regardé ce spectacle jusqu’au moment il a été hors de ma vue, disparaissant dans l’espace. moments later saw shiny metallic object rapidly falling from sky over city(able to see entire medieval city of Fes from rooftop. Next noticed white thing floating high in sky and then what looked like flat bottom of large object high in sky that vanished soon after I noticed it. This is my honest to God experience of seeing something I cant quite figure out and have never seen in America. It occured during Ramadan in this Islamic country which makes me wonder if it was something spiritual?Quelques instants plus tard, j’ai vu un objet métallique brillant tomber rapidement venant du ciel, ceci au-dessus de la ville (je peux voir toute la ville médiévale de Fès à partir du toit.) Il s’agissait d’une « chose » blanche qui avait l’apparance d’un grand objet a fond plat haut dans le ciel et qui a disparu peu de temps après.
Source : http://ufospottings.com/location/Morocco/

6 OCTOBRE 2006 - FES
En regardant à partir de mon balcon un ciel insolite, aux couleurs d’une grande beauté, comme cela a été le cas ces derniers jours, j’ai  remarqué des stries de lumière, comme des petites étoiles qui tombaient, suivies par un objet.

Il ressemblait à une étoile et il a commencé lentement à se déplacer dans le ciel.  C'était comme si une étoile était au point mort et puis, lentement elle a commencé à se déplacer vers l'horizon.  J'ai vraiment été surpris par ce spectacle qui a également eu lieu durant le Ramadan, je suis dans un pays islamique.  J'ai commencé à parler avec les habitants afin de vérifier si quelqu’un l’avait vu. Les seules conversations ont portées sur le fait que ce que j’ai vu ne pouvait avoir qu’un rapport avec la religion, pas d’autres témoins.
Source : http://ufospottings.com/location/Morocco/

NOVEMBRE 2006
A completely FALSE video someone has posted on YouTube of a UFO in Marrakech (my home town).

The video shows street scenes in Marrakesh with a black UFO shown during the daytime. Then, he keeps showing the Koutoubia Mosque with a stork perched on top (is this supposed to look like a UFO shape to people who have never seen storks? That’s the only reason I can guess he’s showing this.) I think this is completely doctored. Another reason this video doesn’t impress me is that there aren’t even any people on the streets in the middle of the day, when the streets would normally be completely congested with people. If this had happened, you can bet everyone in town– and his brother–would have been talking about it.


Informations complémentaires d’Albert Rosales (Usa)

Date of Sighting: November 11, 2006
Time of Sighting: 1 PM Local Time
Date Reported: December 20, 2006
Location of Sighting: Marrakech, Morocco (West-Central Morocco About 135 Miles South-Southwest of Casablanca)
Latitude: 31.63 Degrees North
Longitude: 8.0 Degrees West
Number of Witnesses: One
Weather: Photo Shows Clear Skies

Description (In Witness's Own Words): I was photographing a large bird (Ibis) atop Koutoubia mosque and caught an object above. I have more pics if required.

Investigator's Notes: This photograph shows a strange object. Enlarging the photo does not reveal anything conventional (bird, insect, aircraft, etc). I need to defer any remarks regarding this photo until I receive more information. The witness said that he took more photos of the object. I have requested copies of these photos. Any updates will be posted.
SOURCE : UFOSNW

http://www.ufosnw.com/sighting_
reports/2006/marrakeshmorroco11122006/marrakeshmorroco11122006.htm

MAI 2007 – MAROC – LIEU INCONNU
Boujour,
J’ai eu votre site au cours d'un repas ufos. Je vous transmets deux photos prises au Maroc (Sahara occidental) au mois de Mai 2007, par une connaissance : Mr K C Email : XXXXXX@wanadoo.fr
La personne a été floutée volontairement.
 
Sur la deuxieme photo, on distingue un point à gauche du Cairn; En l'agrandissant, il doit s'agir de la même chose, 6 secondes d'intervalle entre les deux prises;




En espérant que vous preniez contact et appreçiez une des deux photos.
Bien cordialement.
 André O.

 C’est une personne qui fréquente une association locale qui nous contacte afin de nous faire parvenir ces documents photos. Nous n’avons pas d’indication de lieu ou des conditions dans lesquelles ces photos ont été prises. (Jusqu’à ce jour, et ce malgré nos émails)

Toutefois, il semble que nous ayons à faire à l’un de ces défauts habituels des appareils photos numériques. On ne visualise évidemment pas d’objet lors de la prise de vue, mais en regardant les photos une fois prises, on remarque un « ovni ». (Ou plutôt un phénomène inconnu du photographe).

On a fréquemment des exemples de photos de ce type avec les numériques.

Dans certains cas on peut parler d’un oiseau, d’un insecte, d’une feuille d’arbre, d’une poussière etc.. On peut arriver à reproduire ce type de photo, ce qui permet de solutionner certaines photos, avec malheureusement une preuve qui sera toujours aléatoire.

Mais dans le cas présent, il semble que nous ayons à faire à un phénomène courant de l’appareil photo numérique : le calcul interne de la lumière, des couleurs etc… qui composeront la photo qui n’est pas terminé (il s'agit simplement d'une saturation du capteur de l'appareil photo). Dans les cas, souvent de forte lumière, l’appareil photo n’a pas le temps de calculer avec précision toutes les zones et il laisse une anomalie du type représentée sur ce document. Sur la photo 1 l’anomalie est enregistrée, alors que sur la photo 2, prises quelques secondes plus tard, l’anomalie a disparue car les capteurs ont eu le temps de calculer l’image en fonction de la lumière.
Source : Témoignage direct conservé dans les archives d’Ovni Maroc.

LES DOCUMENTS PHOTOS PRIS PAR MR K C.



13 JUIN 2007 TETOUAN
Une femme âgée de 34 ans a observé le mercredi 13 juin 2007 entre 12 h 00 et 12 h 05 à partir de Tétouan. J’écrivais lorsque j’ai vu par la fenêtre quelque chose qui volait dans le ciel. J’ai tout d’abord pensé à un hélicoptère, mais j’ai remarqué que l’objet passait silencieusement, un ovni d’aspect métallisé ou gris un peu ovale. Au coin, une sorte de tube comme une petite cheminée. Il se déplace lentement comme s’il cherchait quelque chose sur les toits des maisons. J’étais au 1er étage et j’ai vu l’objet presque en haut du toit de notre maison de 3 étages. Je suis monté sur le toit pour le voir de très près, mais il a disparu.
Source : Ufologie.net de Patrick Gross.

25 JUILLET 2007 – MARTYL - UN OBJET VOLANT NON IDENTIFIE OBSERVE SE DEPLACANT AU RAS DE LA MER
Il est 11 h 00 en cette matinée du 25 juillet 2007, un père et son fils profitent d’un moment de détente sur la plage de Martyl, près de Tétouan, dans le Nord du Maroc, lorsqu’ils voient arriver un objet se déplaçant à une vitesse très rapide au ras de la mer, venant de l’horizon, prenant soin de ne pas survoler la plage et qui repart vers l’horizon.

LE LIEU

Monsieur N.B. et son fils, en vacances, se trouvaient sur la plage de Martyl, ils se situaient précisément en face des immeubles de l’ERAC, sur la nouvelle double voie de la corniche de Martyl. Martyl, orthographiée aussi « Martil » est située sur le littoral nord du Maroc, à environ 10 Kms à l’Est de Tétouan, 30 Kms de Ceuta.

C’est une ville d’environ 40 000 habitants, très touristique avec ses paysages fantastiques, ses conditions climatiques très agréables. Elle est aussi très appréciée pour sa plage, que l’on dit être l’une des plus belle du Maroc.

Proche de l’Espagne, de l’Europe, Martyl est située au Maroc et donc au Nord Ouest du continent Africain.

LES TEMOINS
Monsieur N.B. à 50 ans, il habite à Rabat (Maroc), il a fait, entre autre, des Etudes à La Sorbonne à Paris ou il a obtenu un Doctorat. Il occupe actuellement des fonctions importantes au Maroc, Directeur d’une grande école, spécialiste des villes anciennes du Maroc, il est l’interlocuteur de nombreux organismes internationaux comme l’Unesco, ou d’autres, Français, avec lesquels il conserve des liens très proches.

Sa position fait que son témoignage est considéré comme sérieux et digne de foi. Dans cette enquête, nous ne donnerons pas son nom, ce qui est compréhensible compte tenu de ses fonctions. Son témoignage est conservé dans les archives d’Ovni Maroc ou les coordonnées du témoin figurent.

 Son fils à 17 ans, il poursuit actuellement des études supérieures dans une grande Université Parisienne.

Les deux témoins ne portent pas de lunette, leur vision est de 10/10. Aucun ne portaient de lunette de soleil ce jour là. L’observation a été faite à l’œil nu, sans autre moyen d’observation (Paire de jumelles ou autres).

L’APPARITION


Il était entre 11h 00 et 11h 30 GMT (heure marocaine équivalente à GMT) ce matin du 25 juillet 2007, N.B. et son fils profitaient de quelques jours de Vacances à Martyl et c’est ce jour et à cette heure qu’ils furent les témoins de l’évolution d’un engin bien étrange.

Ce matin là ils s’étaient rendus à la plage, la marée était haute (estimée, du fait que la mer était proche de la plage), il y avait un très beau ciel bleu, pas de vent, pas de nuages, pas de vague, la plage et l’environnement étaient calme et parfaitement naturel. Aucun bateau en vue, même pas une barque ou tout autre engin maritime, avant, durant et après l’observation. Des vacances parfaites dans un cadre idyllique, sans aucune activité industrielle à proximité, sans bruit, ni nuisance quelconque.

Monsieur N.B. surveillait de temps à autre son fils qui se baignait, proche du rivage. Peu de monde sur la plage, il faut être vigilant, un accident est vite arrivé. Une invasion de méduses, à cette époque là, dissuadait les baigneurs de profiter de l'eau. C'est d'ailleurs pourquoi le fils de Monsieur N.B. n'était pas loin du rivage et que la plage n'était que peu fréquentée à cette heure là. Il nageait, puis à un moment il s’assoit dans la mer, sur le sable, qui est à très faible profondeur à cet endroit. (A quelques mètres de la plage) C’est alors que le témoin remarque, venant de l’horizon en sa direction, un groupe d’objets qui se déplacent à une très grande vitesse, au dessus de l’eau.

Le groupe d’objets arrive vers les témoins, passe et tourne pratiquement au dessus du fils de Monsieur N.B. « J’ai pensé qu’il pouvait le toucher, leur approche me semblait dangereuse, mais toutefois, il est passé à proximité pour disparaître à une vitesse aussi importante vers l’horizon », précise le témoin. Il écrit dans le premier descriptif de la scène : « Ils ont disparus à l’horizon en moins d’une seconde.. ». Cette remarque n’est pas exacte, bien qu’elle reflète la rapidité de déplacement de la masse, le parcours pratiqué par cette masse de couleur grise, métallique, s’est fait, de droite à gauche, à la limite de l’horizon, en moins de 20 secondes. Il s’agit d’une estimation du témoin. (Le témoin précise, en ce qui concerne les couleurs : « ils n'avaient pas des couleurs vives remarquables mais ils semblaient être dans les tons gris, ni mon fils ni moi ne pouvons donner plus de précisions sur la couleur précise. Mais nous sommes tous les deux sûr que ce n'étaient pas des couleurs remarquables ou vives. »)

Ce groupe apparaissait comme étant une masse plane et horizontale formée de plusieurs objets identiques. Ces objets au nombre de 5 ou 6 repartis sur plus de 1m² environ, formaient un seul bloc volant en formation et en parfaite cohésion. La longueur et la largeur ne dépassaient pas un mètre sur une épaisseur de quelques dizaines de centimètres. En ce qui concerne la couleur de la masse, et plus particulièrement des objets qui la formaient, ils semblaient gris et on aurait dit qu’ils étaient liés entre eux par une matière transparente comme du verre. Je ne pouvais pas discerner clairement le contour des objets qui ne me semblait pas net car ils étaient les uns derrière les autres.


Le père est situé à environ 15 m du fils, l’objet est quant à lui passé à 10 m du fils, côté horizon. (Soit le père voyant l’objet passer à environ 25 m de lui).

La vitesse était très grande, le témoin a pu se rendre compte de sa grande rapidité lorsque l’objet était au niveau de son fils, car à ce moment il était proche de lui. Il en a pris conscience précisément à ce moment ainsi que lors de son éloignement. La vitesse était constante, pas de variation. Le témoin estime que la durée de l’observation n’a pas dépassé les 20 secondes au maximum. (Durée comme pouvant être la fourchette haute de ce paramètre). Les objets sont apparus à l’horizon (voir ci-dessous à la rubrique « Hypothèses » la distance qui peut être retenue). La durée estimée du trajet (horizon/plage à hauteur de mon fils) et de la visibilité de l’objet était d’environ 5 à 7 secondes. Ces objets n’émettaient aucun bruit et autour de témoin, pas d’avion, pas de voiture, donc aucun bruit qui aurait pu cacher un bruit quelconque émis par la masse volante. Au passage de la masse et durant tout son déplacement, la surface de la mer était parfaitement plane, aucune présence de mini-vagues, vagues, bouillonnement ou autres phénomènes qui auraient pu être provoqués par le passage de la masse. La surface de la mer était vraiment comme un miroir. Nous notons également que la cinétique de la forme était parfaite sans décélération ni à-coups et aucune répercution sur la surface de l’eau.

La masse semblait évoluer à 50 cm environ de la surface de l’eau, on avait même l’impression qu’elle aurait pu toucher les nageurs, ajoute Monsieur N.B. Cette masse est passée a environ une dizaine de mètres de son fils, côté mer, car il a lui aussi pu observer l’engin qui est passé très près de l’endroit ou il se trouvait. Le déplacement général de l’engin s’est fait en forme de courbe, s’inscrivant parfaitement à la forme de la côte qui est très faiblement courbe. Il se déplaçait parallèlement à la mer, sans mouvement apparent, sans phénomène de vague, en conséquence sans descendre, ni monter.

Précisions donnée par le témoin : L'objet vu se situait à hauteur de nos yeux dans le centre de notre champ visuel sur la ligne d'horizon. Le soleil était aux azimuts de juillet ce qui veut dire que les rayons sont presque perpendiculaires au sol (86° à 11h30). Cette position ne provoque aucune réflexion ou contraste, bien au contraire, les objets sont éclairés avec des rayons perpendiculaires à notre axe d'observation.

Au niveau de l’ombre portée par la masse lumineuse, de par son métier, le témoin a l’habitude de faire attention à cet élément et il lui semble probable que c’est aussi avec l’aide de celle-ci qu’il a pu obtenir une mesure précise quant à la distance de l’objet par rapport à la mer (Environ 50 cms). L’ombre de cet engin, dont il en déduit la présence, ne présente donc aucun caractère anormal.

LES OBJETS
 
Cette masse, qui venait du nord, était composée de 5 ou 6 objets, 7 au maximum. Ces objets, d’une couleur située dans les tons gris, avaient une longueur de 30 cms environ, a peu près identique pour la largeur, aplatis et étaient parfaitement solidaires les uns par rapports aux autres (ils ne bougeaient pas en conséquence). Ils ressemblaient à des petits avions. Le témoin a observé ces objets sous trois angles différents : de face lorsqu’ils sont arrivés sur sa droite, de côté lorsqu’ils étaient à hauteur de son fils et enfin vu de l’arrière lorsqu’ils se sont éloignés.

Je me trouvais à une quinzaine de mètres de mon fils, ce dernier étant assis dans l’eau, à 5 ou 6 mètres du sable formant la plage. La plage de MARTYL est immense mais dans le voisinage de N.B., il n’y avait que 6 ou 7 personnes situées au minimum à 30 mètres. La plage était relativement vide. Parmi ces personnes certaines se baignaient, d’autres étaient assises sur la plage ou se tenaient debout, mais apparemment aucune n’a fait attention au phénomène. Le temps de comprendre et d’imaginer ce que pouvaient êtres ces objets au lointain, qu’ils passaient devant le témoin et repartaient sans même qu’il prenne conscience de les faire remarquer aux autres personnes présentes. Son fils, placé vraiment à proximité de ces engins, à quant à lui pu les observer et en fait la même description que son père. Monsieur N.B. n’a pas eu le temps de se déplacer durant l’observation, il est resté debout, stupéfait de voir ce phénomène qui lui était totalement inconnu.

VARIATION DANS LA DESCRIPTION ENTRE LE TEMOIN NR 1 (LE PERE – MR N.B.) ET LE TEMOIN NR 2 (LE FILS).

La question est de savoir si le témoin Nr 2 (le Fils) a pu observer des variantes par rapport à la description du père. Voici ce qui a été relevé, à propos de cette question, retracé et commenté par NB : la seule différence entre l'observation de mon fils et la mienne c'est que lui considère que le déplacement des objets s'est fait presque en ligne droite et moi je considère que c'est une courbe comme dans mon dessin. Peut être que c'est du au fait qu'il n'a remarqué les objet en question qu'une fois à sa portée et donc il n'a vue que la moitié du déplacement. Par contre c'était plus proche de lui. Il reconnaît que c'est plusieurs objets regroupés en seul système. Il confirme que ça ressemble à des petits avions parfaits. Que la vitesse est vertigineuse. Il parle d'un vol en formation. Pour lui, vue leur petite taille (30 cm chacun) les objets ont disparus avant l'horizon parce qu'il ne les voyait plus. Il faut dire aussi que le niveau de ses yeux était légèrement plus bas que le mien, étant donné qu'il était assis dans l'eau et que je ne voyais pas son maillot de bain. (je me situais aussi un peu plus haut, sur le sable de la plage.

CE QU’EN PENSENT LES TEMOINS

Tout de suite après l’observation, le témoin a pensé à des oiseaux qui planent ? Mais il a vite compris que la vitesse et la perfection du vol étaient étranges, incompatibles avec celles d’un vol d’oiseaux. Dans ce cas cela aurait été un vol d’oiseaux métalliques qui se déplacent à une vitesse vertigineuse. Son fils a eu la même impression, il a déclaré : « tu a vu ça ? C’est quoi ces trucs ? On dirait des petits poissons volants mais leur vitesse et la régularité de leur trajectoire est parfaite. Ce n est pas naturel !!!!! ». Le témoin à aussi pensé à un vol d’avions miniatures, des avions « clones » qui volent en formation mais la vitesse et la technologie qui aurait du être employée lui a semblée impossible et de plus, ils étaient vraiment petits. Maintenant, il évoque la possibilité qu’une puissance ait pu mettre au point des « sortes » de jouets miniatures capables de se déplacer sur une grande distance en quelques secondes !... Mais cela reste de l’hypothèse.

Quant aux personnes de l’entourage du témoin, à qui il en a parlé, elles sont indifférentes et son fils qui a observé avec lui le phénomène ne trouve pas d’explication. Il confirme seulement la description du phénomène, tel que je l’ai observé, par contre pour lui cette observation d’un ou de plusieurs engins insolites n’offrent aucun intérêt.

HYPOTHESES

1 - DIVERSES REFLECTIONS :
Comme il est indiqué dans le titre, ce chapitre ne concerne que des réflexions, ce ne sont pas des analyses élaborées par des spécialistes dans les domaines évoqués et qui seraient considérées comme définitives et inattaquables, mais uniquement des idées qui vont permettre ultérieurement à tous les lecteurs d’élaborer librement des hypothèses quant à une possible identification de cet objet.

La vitesse

Dans la première version de ce rapport, nous avions présenté une analyse relative à une vitesse déterminée à partir de la vision maximale d’un œil humain en tenant compte de la situation des témoins mais sans tenir compte de la grosseur de l’objet. Cette mesure ne peut pas être retenue. Une analyse plus appropriée est présentée à la fin de ce chapitre.

Les dimensions.

Les dimensions de la masse, (1m sur 1 m ) d’où par déduction de chaque petit objet (30 cms) qui la composait, sont parfaitement connues car estimées lors du passage de la masse qui s’est faite à environ 10 mètres du fils et 25 mètres du père.

Le bruit – Incidence sur la surface de la mer. L’avis de M.P. Ingénieur.

Le silence, inimaginable même pour un planeur à si courte distance, rattache cette observation à de nombreuses observations antérieures. Encore que sur ce point, mieux vaut être prudent.

 On pourrait objecter qu’un bruit du niveau de celui d’un moteur électrique aurait pu être couvert par le bruit des vagues (même si le témoin dit qu’il n’y en avait pas, il faut être réaliste : il y a toujours des vagues sur la méditerranée, même si certains jours elles sont plus douces et moins bruyantes) et du vent. Je ne connais pas le Maroc, mais sur la côte nord de l’Algérie, il y a toujours du vent, et c’est probablement pareil au Maroc. Suivant le sens du vent, un bruit peu important a pu rester imperceptible.

Notons toutefois que le témoins à vu l’objet à 25 m et que son fils l’a vu à 10 m, ce qui fait que ce paramètre est d’une bonne fiabilité : pas de bruit. (Ndlr)

 Un objet rapide volant à 0,30 cms au dessus de l’eau devrait laisser un sillage sur l’eau (voir.



<http://www.dailymotion.com/relevance/search/rase%2Bmotte/video/x3fzkx_avions-de-chasse-en-rase-motte_fun?from=rss>) à moins qu’il soit excessivement léger ou que sa sustentation ne soit pas basée sur les mêmes principes que nos ailes.

En conclusion : Un témoignage assez exceptionnel - Exceptionnel par la nature de l’observation : la taille des objets, leur vol en formation à proximité immédiate d’un baigneur, c’est, pour ce que j’en sais, du jamais vu.

La scène est soumise à une analyse « militaire » par J.P., qui connaît bien le dossier ovni.

En soumettant la scène à l’analyse militaire des paramètres de camouflage/non camouflage

F orme : non définie avec précision. Normal : l’objet est observé pratiquement dans son épaisseur, sur la tranche, sauf dans la trajectoire proche (plus que quelques degrés sur l’horizontale)

O mbre : pas mentionnée (la hauteur sur l’eau décrite sous un soleil à 81° rend l’ombre inséparable de l’objet), sauf en trajectoire « proche ».

M ouvement : Oui, décrit. Ce mouvement n’est détectable, au début, par les témoins que dans sa composante angulaire latérale, dépendant donc de la distance et de la vitesse de l’objet. Un objet très éloigné, même très rapide a un déplacement angulaire lent, pas immédiatement détectable.

E clat : aucun.

C ouleur : aucune (le gris général n’est pas un élément d’identification par contraste).

Les conditions militaires du camouflage, de l’indiscernabilité sont donc toutes réunies à l’exception du mouvement.

Pourrions nous avoir à faire à un engin militaire ? Une remarque que nous pouvons faire, c’est que le lieu ne serait pas le mieux choisi.

L’avis d’un psychiatre (après la lecture du rapport et non pas lors d’une consultation)

J'ai bien lu le rapport de ce témoignage. Je ne vois, dans ce rapport relaté par les observateurs, aucune possibilité de distorsion liée à quelque phénomène psychologique ou psychiatrique que ce soit. Ainsi, je pense en toute conscience qu'il s'agit bien là d'un phénomène lexis non élucidé.
Franck X

Commentaires sur l’analyse des témoignages de Martyl.

Par Claude POHER, Dr en Astrophysique, ancien directeur du Gepan

Merci à Monsieur Lebat de nous avoir fait connaître ces témoignages.

Je souhaite cependant revenir sur certains détails de l’analyse de cette observation, à titre strictement pédagogique, afin de partager mon expérience.

Les faits importants pour le physicien :

Les deux témoins du phénomène l’ont observé à l’œil nu, soleil presque à la verticale.

Cette observation s’est déroulée le 25 Juillet 2007, vers 11 heures du matin, sur une plage méditerranéenne du Maroc, par un très beau temps, très calme, très chaud, et très ensoleillé.

Le phénomène s’est très brièvement approché à 10 / 20 mètres des témoins. A cette distance, la vision binoculaire des témoins leur a probablement permis à chacun d’évaluer correctement l’ordre de grandeur de la taille du phénomène et peut-être aussi sa distance minimale.

C’est toutefois plus délicat, en ce qui concerne la distance, faute de références au-dessus de la mer, avec un phénomène observé pour la première fois, parce qu’il n’y avait, semble-t-il aucun effet sur la surface de l’eau, pour pouvoir fixer inconsciemment la verticale du phénomène. La vision binoculaire n’est d’aucun secours dans la direction verticale, face à la mer.

La trajectoire incurvée du déplacement du phénomène est restée proche de la surface de la mer, dans un plan horizontal, (environ à 0,5 mètre au-dessus de la surface de l’eau), à peu près à la hauteur des yeux des témoins.

La durée totale de l’observation a été estimée entre 10 et 20 secondes. Les témoins ont cependant affirmé avoir été étonnés de la rapidité du mouvement, et du silence total. Une durée de 20 secondes est en effet extrêmement longue, il suffit d’examiner un chronomètre pour s’en convaincre.

Les dimensions du phénomène ont été estimées subjectivement par les témoins : environ un mètre dans le sens horizontal, et quelques dizaines de centimètres en épaisseur verticale. Les témoins décrivent quelques détails de la configuration du phénomène.

Commentaires de physique (optique de l’œil humain) :

L’œil humain « parfait » possède une résolution angulaire d’une minute d’arc environ (1/3000 e de radian). Cela est le résultat de plusieurs facteurs, comme la taille des cellules photosensibles de la rétine, le diamètre de l’optique de l’œil, les caractéristiques du milieu transparent interne, etc …

Cette caractéristique incontournable de résolution signifie qu’aucun objet n’est observable par un humain si sa dimension apparente (diamètre / distance) est inférieure à 1/3000.

Par conséquent, pour un phénomène d’un mètre de diamètre, la distance maximale à laquelle un homme pourrait le distinguer est de 3000 mètres, dans des conditions atmosphériques idéales. Pour un détail de 10 centimètres, c’est 300 mètres.

Et pour un observateur non prévenu de l’apparition d’un tel phénomène silencieux, il est évident qu’il ne commencerait à le distinguer que beaucoup plus près de lui. On peut dire que l’image du phénomène devrait occuper plusieurs cellules rétiniennes pour être perçue.

Dans ces conditions (toujours idéales sur le plan atmosphérique) il est donc préférable de considérer que l’objet a pu être perçu par l’œil humain, au début de l’observation, à 2000, voire 1000 mètres de distance. Certainement pas à 5 kilomètres comme il est proposé. (1)

En ce qui concerne la phase d’éloignement du phénomène, c’est sans doute une distance maximale de 3000 mètres qu’il faudrait retenir, en conditions atmosphériques idéales, parce que les yeux suivent le phénomène jusqu’à ce qu’il ne puisse plus être observable.

Bref, en conditions atmosphériques idéales, ce phénomène aurait parcouru 4 à 5 kilomètres au maximum en 10 à 20 secondes.

Cela correspondrait à une vitesse minimale de l’ordre de 200 mètres par seconde, et une vitesse maximale de l’ordre de 500 mètres par seconde. La vitesse du son est de 340 mètres par seconde.

Commentaires d’optique atmosphérique :

Cependant, les témoins décrivent un phénomène de couleur grise, qui est observé près de l’horizontale, au-dessus de la mer.

Dans ces conditions, on ne peut pas dire que l’observation se soit déroulée dans des conditions atmosphériques idéales. En effet, au ras de l’horizontale, par temps très chaud et ensoleillé, il existe une considérable diffusion atmosphérique. Par conséquent, le contraste entre le phénomène de couleur grise, et le fond du ciel (blanc laiteux près de l’horizon) est très fortement atténué.

Or c’est uniquement le contraste ciel / phénomène en déplacement qui attire l’attention des témoins.

La diffusion atmosphérique rend donc encore plus difficile la perception du phénomène à grande distance, surtout qu’il s’agit d’un phénomène silencieux, qui ne peut attirer l’attention que par son contraste par rapport à la luminosité naturelle de l’horizon.

En ajoutant les contraintes liées à la diffusion atmosphérique, il apparaît ainsi très probable que la distance à laquelle un phénomène, de cette taille et de cette couleur grise, silencieux, ne pouvait être perçu par les témoins, que bien plus près que 3 kilomètres. Peut-être moins de 1000 mètres.

La vitesse réelle du phénomène devrait donc être nettement inférieure aux limites calculées précédemment.

Dans ces conditions il me semble très prématuré de conclure à une vitesse supersonique, et d’en déduire diverses considérations. C’est ce genre de conclusion prématurée qui crée un malaise chez ceux qui ne partagent pas notre point de vue. Nous devons absolument éviter les conclusions hâtives. Conclure signifie que l’enquête est achevée.

Ce n’est pas le cas ici.

Ne pas poser des questions sur la distance, les dimensions, ou la durée : simuler, mesurer, chronométrer.

On se rend compte que l’analyse d’un témoignage de ce genre repose sur des paramètres clé, que sont les dimensions du phénomène, sa distance d’observation, la durée des diverses phases de la trajectoire.

On a donc tout intérêt à cerner ces données de manière aussi objective que possible.

Par expérience, j’ai constaté qu’il est possible, et préférable, de faire appel à la mémoire visuelle et temporelle des témoins. Même des années après les faits.

Par conséquent la meilleure méthode semble être d’amener les témoins sur le lieu même de leur observation, avec des conditions (heure, météo) aussi similaires que possible.

 Au lieu de les interroger (les mots sont des pièges, ils n’ont pas la même signification pour chacun), il est préférable de tenter une simulation physique des faits, phase par phase, les témoins participant séparément et sans s’observer mutuellement.

Pour effectuer la simulation, on pourrait ici utiliser une « maquette » en carton, grise, fixée sur une rame tenue verticalement, par un assistant, dans une barque motorisée. Le témoin, placé là où il se trouvait sur la plage, se contenterait de dire par radio : plus loin, plus près, plus à gauche ou à droite, oui c’est à peu près cela, etc … Et rien d’autre.

Un GPS ou un théodolite (ou de simples piquets et un décamètre) donneraient alors aux enquêteurs aisément les diverses distances, de manière beaucoup plus objectives. Il faudrait procéder plusieurs fois, pour chaque témoin, sans possibilité d’interaction entre eux et faire des moyennes. C’est ainsi que les meilleurs résultats sont obtenus, en général.

 Cette méthode est très efficace, on est souvent étonné de la concordance des témoins.

 De même, pour les durées, qui sont toujours cruciales, ne pas poser de questions, mais faire plusieurs simulations, avec chaque témoin séparément, sans qu’ils se concertent.

 Chaque témoin essaie simplement de se concentrer sur ses souvenirs, en silence, yeux fermés si besoin, et il essaie de montrer l’évolution de la direction de sa propre observation, de mémoire, avec son bras tendu, pour expliquer aux enquêteurs sans parler. Le témoin tente surtout de respecter, dans sa mémoire, la vitesse d’évolution du phénomène.

Le corps humain possède plusieurs horloges internes, et en garde inconsciemment la mémoire, même des années après les faits.

Un enquêteur examine les gestes des témoins et chronomètre simplement chaque phase reconstituée, sans rien dire, en se contentant de noter les durées lues au chronomètre (silencieux).

On procède ainsi plusieurs fois, afin de calculer des moyennes, phase par phase (approche, passage à faible distance, éloignement). Il ne faut surtout pas indiquer les durées chronométrées au témoin pendant la reconstitution, pour ne pas créer de situation de contradiction entre son évaluation personnelle et le chronomètre.

On procède séparément pour chaque témoin, et l’on calcule des moyennes.

Cette méthode révèle souvent de grandes surprises. Les durées mémorisées réelles sont très souvent bien plus courtes que celles évaluées de vive voix (5 fois plus faibles parfois).

Cette méthode de reconstitution des durées n’impose pas nécessairement de se rendre sur place, le témoin peut tenter de revivre la scène dans un fauteuil, loin des lieux.

Cependant, en ce qui concerne l’évaluation des dimensions et des distances, associées à un effet de contraste, rien ne vaut une simulation sur place, dans des conditions réalistes.

Cette observation est certes intéressante, mais il reste beaucoup à faire avant de conclure.

Avec des résultats plus objectifs, la discussion et les conclusions n’en auront que plus de poids, évidemment.

Alors au travail !

2 - Aucune hypothèse prouvée à ce jour quant à l’identification du phénomène.

Comme on peut s’en douter, après lecture d’un certain nombre d’avis, à ce jour nous n’avons pu donner aucune explication à cette observation. Aucun élément ne nous permet de prouver avec certitude qu’il s’agit de tel ou tel objet terrestre ou phénomène naturel. Il reste donc à ce jour un « ovni » ! Le dossier n’est pas clos, si vous avez quelques idées contactez.

Enquête Gérard Lebat et les auteurs des différentes réflexions.

 
(1) 5 Kms, portée maximum de la vision de l’œil à partir de l’emplacement des témoins. Elément utilisé, à tort, dans une version précédente de ce rapport pour en déterminer la distance maximum ou aurait été vu l’objet lors de son apparition.

Nota : Les différentes durées relatives à l’observation données ici sont des estimations faites un an après, bien qu’imprécises, reprises telles que données par le témoin, elles nous donnent une idée de la durée de l’observation et donc de la rapidité du déplacement de cette masse, qui s’est faite entre 10 et 20 secondes. (Durée de la visibilité du phénomène).

Ce rapport a été rédigé à partir de plusieurs écrits du témoin, fait à notre demande, relatant l’observation, le premier datant de deux à trois mois. Les éléments constitutifs de ce rapport ont donc été « réfléchis » et ne sont pas le résultat d’une enquête verbale ou les informations auraient été retranscrites donc modifiées ou interprétées. L’enquête a été faite au Maroc par le signataire.

AOUT 2007 – MAROC – LIEU INCONNU.
Août 2007 mon frère a observé un ovni, c'était une boule blanche qui restait immobile
pendant plusieurs minutes avant de partir doucement dans une direction puis tout d'un coup elle s’est déplacée dans la direction inverse avec une vitesse fulgurante.

Source – Témoignage mail d’Au delà du réel. Pseudo sur forum internet. Un questionnaire lui a été communiqué. Sans réponse à ce jour.

SEPTEMBRE 2007 - PHOTO PRISE A CASABLANCA
J'ai vu un ovni (je jure que c'est la vérité) j'ai pris une photo mais je sais pas qui contacter

Envi. Septembre 2007. La photo je l'ai prise avec mon tel L'ovni était en forme de triangle avec une lumière dans chaque bout il est rester stable pendant un long moment et il a commencer a avancer doucement et il a disparu, je veux savoir dans quel site je peux publier ma photo car c'est rare de voir des ovni au Maroc (Casablanca) je répète que je jure que c'est la vérité

Source : Information récupérée sur le site de Yahoo. Appel a été lancé à ce message pour communication du document, sans résultat.

27 OCTOBRE 2007 – CROMLECH MZOURA (25 KMS AU SUD D’ASILAH)
Le samedi 27 octobre 2007 ma collègue est ses amis sont allés dans le site préhistorique "Cromlech Mzoura" un site où l'on peut admirer des mégalithes, aussi ancien que le temps lui même et autour duquel tournent d'étranges légendes….

 Il faisait très beau, ils ont pris quelques photos et sur l'une d'elle, en l'agrandissant, j'ai découvert deux anomalies étranges...

Ni ma collègue ni ses amis n'ont remarqué auparavant les deux étranges objets dans le ciel clair sur l'une de ces photos.

Les photos ont été prises entre 12h et 13h d'après ma collègue.


L'appareil photo est un SONY DSCT7 5 MO de pixels: focale 6 mm, ouverture F/5.6, vitesse 1/400, sensibilité iso64, photo prise le 27/10/07 à 13h12.

Source : Forum
http://objetvolant.org/modules.php?name=Forums&file=viewtopic&t=266

  Ce type de photographie sur lesquelles ont retrouve une « anomalie » en la visionnant est fréquent. L’identification se fait généralement comme étant un oiseau, un insecte, une poussière sur l’objectif etc… Nous la présentons à titre documentaire.

  20 DECEMBRE 2007 - MARRAKECH

Photos prises par un invité présent à une réunion à Amiens en février 2010 et représentant des phénomènes dans le ciel de Marrakech.
 

Ces phénomènes ne sont que la réflexion de lumières sur les basses couches nuageuses.

Info complémentaire en Mars 2010
Pas d’autres informations sur ce témoignage d’un invité qui est venu décrire son cas. Rien n’a été conservé par le responsable de la réunion.

 
LA SUITE SUR LA PAGE 8 DE
L'HISTOIRE DES OVNIS AU MAROC

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